1 ères. Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps social nouveau. Prenons le cas social de l’esclave qui

2 communauté d’hommes qui sont à la fois libres et engagés . Libérés par Celui qui les engage à son service, et engagés au servic

3 fois libres et engagés. Libérés par Celui qui les engage à son service, et engagés au service du prochain dans la mesure préci

4 ibérés par Celui qui les engage à son service, et engagés au service du prochain dans la mesure précisément où ils se sentent l

5 personnes, d’hommes nouveaux, à la fois libres et engagés , constituant une multitude de communautés locales. Telles seront à no

6 oxe essentiel de la personne : à la fois libre et engagée , distincte et reliée à nouveau. Car le rôle que Dieu attribue à un ho

7 cause de sa vocation qu’il est à la fois libre et engagé , autonome et pourtant responsable au sein de la communauté. Ainsi le

8 ous, la personne : l’homme qui sait ce qu’il doit engager tout en gardant sa liberté, l’homme autonome, mais aussi solidaire. C

9 de l’engagement social. L’homme étant totalement engagé , corps et esprit, dans les rouages de l’État, et cet État ne reconnai

10 ion chrétienne de la personne, à la fois libre et engagée . Il en résulte alors que la Réforme, et spécialement sa tendance calv

11 qui fît intervenir des forces individuelles mais engagées dans une communauté réelle. J’ai cherché, en second lieu, à tenir com

12 rnit pas des raisons de vivre. Notre serment nous engage donc aussi à prendre une conscience sérieuse des raisons de vivre de

13 gnés jusqu’ici par les bombardements, nous sommes engagés comme les autres dans le conflit spirituel. Chose étrange, sur ce pla

14 mps à autre. Le combat que nous devrons peut-être engager militairement contre l’un de ces petits personnages, ce combat, si «