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nt gênant dans le chapitre final sur la politique
extérieure
. Le résumé des événements de l’après-guerre tel que le donne l’auteur
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met de constituer un bloc puissant vis-à-vis de l’
extérieur
; un bloc qui prend l’allure d’une armée. Le vice d’un tel système, c
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au sens romain, un rôle, un masque, une fonction
extérieure
, c’est-à-dire un individu embrigadé, et non pas une vocation. Millier
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qu’il porte en lui-même. Car un ennemi visible et
extérieur
, ce n’est jamais que l’incarnation d’une possibilité secrète, d’une t
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e malheur ne peuvent expliquer que des phénomènes
extérieurs
. La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irrationnelle.
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ue par des esprits libres. » Les deux libertés, l’
extérieure
et l’intérieure, ont toujours été liées dans notre histoire. C’est pa