1 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
1 de quoi nous vanter. D’abord, ce n’est pas notre faute . Car vraiment, nous ne sommes pour rien, nous autres Suisses du xxe
2 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
2 bien ce que cela peut « donner » à l’usage. C’est faute d’usage et d’occasion, faute d’une action vraiment totale et engagean
3 r » à l’usage. C’est faute d’usage et d’occasion, faute d’une action vraiment totale et engageante, que je commence ici, pour
3 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
4 eur succès de librairie : mea culpa. Mais quelles fautes avaient donc commises ces millions de femmes et d’enfants en fuite su
5 Ce délai nous permet de comprendre, d’avouer nos fautes et celles de notre monde, de dire la vérité que les peuples en guerre
6 un peuple neutre, en avouant le réel. Avouer ses fautes est une libération dont l’homme sort toujours retrempé. Avouer les fa
7 n dont l’homme sort toujours retrempé. Avouer les fautes de ceux qu’on aime et dont on attend la victoire comme la permission
8 préparer l’avenir. Il est dur de reconnaître ces fautes , parce que nous en sommes les complices, et que nous aimons les fauti
9 fautifs. Il est dur de les avouer, parce que les fautes contraires des autres, en face, nous paraissent bien plus effrayantes
4 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
10 iennent centralistes (au mauvais sens) que par la faute des fonctionnaires qui s’y incrustent, et dont l’intelligence politiq