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de quoi nous vanter. D’abord, ce n’est pas notre
faute
. Car vraiment, nous ne sommes pour rien, nous autres Suisses du xxe
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bien ce que cela peut « donner » à l’usage. C’est
faute
d’usage et d’occasion, faute d’une action vraiment totale et engagean
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r » à l’usage. C’est faute d’usage et d’occasion,
faute
d’une action vraiment totale et engageante, que je commence ici, pour
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eur succès de librairie : mea culpa. Mais quelles
fautes
avaient donc commises ces millions de femmes et d’enfants en fuite su
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Ce délai nous permet de comprendre, d’avouer nos
fautes
et celles de notre monde, de dire la vérité que les peuples en guerre
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un peuple neutre, en avouant le réel. Avouer ses
fautes
est une libération dont l’homme sort toujours retrempé. Avouer les fa
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n dont l’homme sort toujours retrempé. Avouer les
fautes
de ceux qu’on aime et dont on attend la victoire comme la permission
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préparer l’avenir. Il est dur de reconnaître ces
fautes
, parce que nous en sommes les complices, et que nous aimons les fauti
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fautifs. Il est dur de les avouer, parce que les
fautes
contraires des autres, en face, nous paraissent bien plus effrayantes
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iennent centralistes (au mauvais sens) que par la
faute
des fonctionnaires qui s’y incrustent, et dont l’intelligence politiq