1 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
1 ste symbolise les conflits politiques au sein des foules des grandes nations. Or, nous n’avons pas de grandes villes, et nous
2 de largeur, qui ne peut être occupée que par une foule , mais en même temps, l’action doit graviter autour d’un héros solitai
3 se déplaçait du héros central aux réactions de la foule , c’est-à-dire du drame de la personne à ses répercussions dans la com
2 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
4 e personnelle chez les individus charriés par une foule  ? » Il m’a répondu : « Allez écouter le Führer, nous en reparlerons e
5 , c’est de voir quels liens unissent Hitler à une foule à laquelle il parle. Essayez de vous représenter une salle immense qu
6 étroite. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule . J’étais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon tireur l’eût d
3 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
7 . Une seule chaîne de miliciens le séparait de la foule . J’étais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon tireur l’eût d
4 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
8 avec lui un des composants du spectacle, soit la foule , soit le chœur. Il est l’axe autour duquel tourne cette légende drama
9 e en scène, du jeu d’acteurs, des réactions de la foule . Ce que Denis de Rougemont pas plus qu’Honegger n’avouent, c’est la j
5 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
10 olas : Parmi nous, peuple, parmi nous — parmi la foule en lourd tumulte avant le jour — aveugle proie de l’horreur désirée —
11 du cheval roux de notre Apocalypse — parmi nous, foule , parmi nous. Descends ! clémente et pacificatrice — ô voix pareille
6 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
12 ombes. Centre du monde ! Il s’en va, coudoyant la foule et traversant les lieux publics, avec cette grande Question qu’il por