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s idoles, au nom de la race aryenne, de l’orgueil
germanique
, et de la foi nationaliste. Or, nous savons par l’Ancien Testament qu
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oup quelque chose du mystère français, du mystère
germanique
, ou du mystère alémanique ; sa meilleure part, sans doute, celle qu’a
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’Alémanique, — la nervosité latine et la ténacité
germanique
; notre ironie critique et leur humour. Et tout ce qu’il y a dans la