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enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la vraie
gloire
d’un poète : que son souvenir se confonde — inoubliable, inséparable
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is tout ce que fait un chrétien, il le dédie à la
gloire
de Dieu, et c’est là toute la différence. Dira-t-on qu’elle n’est guè
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u romantisme et des féconds loisirs qui a fait la
gloire
d’une Heidelberg, d’une Tubingue, et de tant d’autres petites cités o
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teurs non protestants ou incroyants nous font une
gloire
peut-être intempestive ? Le problème est, je crois, d’autant plus act
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isions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de
gloire
et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on par
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libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de
gloire
et de richesse, de sa propre gloire et de sa propre richesse, fussent
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t assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre
gloire
et de sa propre richesse, fussent-elles acquises aux dépens de sa fam
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l s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de
gloire
et de richesses ou d’expériences telles que la dissection du corps hu
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n et une ambiance protestante. Il y a trop de ces
gloires
dites protestantes qu’on annexe, qu’on recense par une sorte de natio
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ce aux hommes le règne de l’Homme fort, et non la
gloire
du Dieu vivant. C’est pourquoi notre vraie défense contre lui ne peut
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vers la conquête et la richesse ; au comble de sa
gloire
, et de son risque. Elle n’a jamais été moins neutre, moins confinée d
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nant c’est le sceau des poèmes qu’il dédie « à la
gloire
de Dieu ». ⁂ Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un pe