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’Église des premiers siècles a repris peu à peu l’
héritage
de l’Empire romain. Elle s’est peu à peu substituée aux cadres scléro
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une conquête perpétuelle. Elle est sans doute un
héritage
« politique ». Mais rien ne se déprécie plus rapidement que les privi
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formidables qui menaçaient l’existence même de l’
héritage
européen, nous répondions : « C’est trop affreux pour être vrai. » À
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que jamais pour la défense et la rénovation de l’
héritage
que Dieu nous a confié. Nos raisons d’être tiennent dans ses deux mot
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e défend bien qu’en attaquant. On ne maintient un
héritage
qu’en travaillant à l’enrichir. Ainsi la Suisse ne survivra aux révol