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on sur l’homme et son destin particulier. D’où le
héros
, d’où la statue, d’où le tragique (Antigone s’opposant aux décisions
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eloppements lyriques sur les ossements sacrés des
héros
suisses, sachons reconnaître les premières racines de quelque chose q
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en même temps, l’action doit graviter autour d’un
héros
solitaire. D’où la nécessité de recourir à des chœurs, qui peuplent e
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ge, dans les moments où l’intérêt se déplaçait du
héros
central aux réactions de la foule, c’est-à-dire du drame de la person
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pour créer une atmosphère qui appelle l’action du
héros
. Elle n’est plus décorative, mais proprement dramatique. Je ne saurai
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r — encore lui ! — met dans la bouche d’un de ses
héros
, dans le récit intitulé Le Fanion des sept braves. Par les temps que