1 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
1 de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la vraie gloire d’un poè
2 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
2 dans tout cela, rien qu’une innocente fantaisie. Il y avait peut-être autre chose. Une espèce de recherche inconsciente de réalit
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
3 re, l’opposition n’est qu’apparente : en réalité, il y a de l’un à l’autre un lien de cause à effet ou plus exactement, de suc
4 des personnes particulières ». Car non seulement il y a plusieurs Églises, mais à l’intérieur de chaque Église locale, il y a
5 ises, mais à l’intérieur de chaque Église locale, il y a diversité des personnes, c’est-à-dire des vocations particulières. Av
6  Le meilleur état de gouvernement est celui-là où il y a une liberté bien tempérée et pour durer longuement. » Il me semble qu
7 mé par une éducation et une ambiance protestante. Il y a trop de ces gloires dites protestantes qu’on annexe, qu’on recense pa
4 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
8 actuel que j’aie lu sur l’Allemagne hitlérienne. Il y a pourtant deux ans qu’il a été écrit. Son auteur, M. Denis de Rougemon
5 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
9 Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)q r
10 q. Rougemont Denis de, « [Réponse à une enquête] Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident », Volontés, Paris,
6 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
11 erte au public suisse par le canton de Neuchâtel. Il y a quelque chose de profondément émouvant dans ce don : un canton offre
12 is de Rougemont, un instant, songe, puis répond : Il y a donc un personnage central, c’est Nicolas de Flue. Il évolue du plan
13 sation. Et la musique ? D’abord, je vous dirai qu’ il y a 30 parties musicales et que le choral du premier acte par exemple for
7 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
14 ⁂ Que dire de Denis de Rougemont ? À peine connu il y a trois ou quatre ans, en dehors de quelques revues aussi sincères que
15 aujourd’hui. Vous voulez parler de l’hitlérisme ? Il y a certainement une source commune à Hitler et aux romantiques allemands
16 e commune à Hitler et aux romantiques allemands ; il y a certainement une analogie profonde entre les réactions collectives de
8 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
17 e ces tâches immédiates. C’est justement parce qu’ il y a ces obstacles que nous devons agir et réagir. Quand le premier enthou
9 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
18 our les manuels et tant mieux pour l’argent. Mais il y a sans doute autre chose à tirer de nos « privilèges », si nous voulons
19 cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un témoin, en effet, un seul, car du reste l’esplanade était sauvage,
10 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
20 nassent le pays dans des aventures dictatoriales. Il y avait quelque chose de sain et de profondément démocratique dans l’effaceme
21 de la tyrannie. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente… ae. Rougemont Denis de, « La
11 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
22 Rester neutres au nom d’un traité signé à Vienne il y a plus de cent ans, soit ! Mais il ne faudrait pas retenir de ce traité
12 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
23 us du niveau où la pensée est encore agissante. S’ il y a divorce entre culture et masses, ce serait moins la faute de la cultu
24 français et étrangers — et José Ortega y Gasset. Il y a trois semaines, nous étions ensemble à Orléans, pour la représentatio
25 e d’auto. Et ces rires, ces éclats de voix ! Mais il y a depuis un moment une musique de radio on ne sait d’où venue, dominant
13 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
26 nge protecteur. À l’origine de notre aveuglement, il y a notre incrédulité. Si Dieu existait, pleurons-nous, il ne permettrait
27 ain toujours bafoué, au-delà du pessimisme lâche, il y a la foi dans l’éternel, y a l’amour et l’espérance de l’éternel. À quo
14 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
28 de la tyrannie. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente… 6. Cultures. — C’est quand on do
15 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
29 tre ironie critique et leur humour. Et tout ce qu’ il y a dans la culture romande d’un peu précautionneux ou de timide, se trou
30 es Suisses ne soient pas sortis du même moule, qu’ il y ait des Zurichois et des Bernois, des gens d’Unterwald et de Neuchâtel, d
31 t des Bâlois, et même deux espèces de Bâlois ! Qu’ il y ait une histoire de l’Appenzell et une histoire de Genève ! Cette variété
32 s l’amitié commune, alors un peuple atteint ce qu’ il y a de plus haut. al. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Henri le V