1
de belles couleurs, le poète sourit en lui-même,
il y a
une enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la vraie gloire d’un poè
2
dans tout cela, rien qu’une innocente fantaisie.
Il y avait
peut-être autre chose. Une espèce de recherche inconsciente de réalit
3
re, l’opposition n’est qu’apparente : en réalité,
il y a
de l’un à l’autre un lien de cause à effet ou plus exactement, de suc
4
des personnes particulières ». Car non seulement
il y a
plusieurs Églises, mais à l’intérieur de chaque Église locale, il y a
5
ises, mais à l’intérieur de chaque Église locale,
il y a
diversité des personnes, c’est-à-dire des vocations particulières. Av
6
Le meilleur état de gouvernement est celui-là où
il y a
une liberté bien tempérée et pour durer longuement. » Il me semble qu
7
mé par une éducation et une ambiance protestante.
Il y a
trop de ces gloires dites protestantes qu’on annexe, qu’on recense pa
8
actuel que j’aie lu sur l’Allemagne hitlérienne.
Il y a
pourtant deux ans qu’il a été écrit. Son auteur, M. Denis de Rougemon
10
q. Rougemont Denis de, « [Réponse à une enquête]
Il y a
toujours des directeurs de conscience en Occident », Volontés, Paris,
11
erte au public suisse par le canton de Neuchâtel.
Il y a
quelque chose de profondément émouvant dans ce don : un canton offre
12
is de Rougemont, un instant, songe, puis répond :
Il y a
donc un personnage central, c’est Nicolas de Flue. Il évolue du plan
13
sation. Et la musique ? D’abord, je vous dirai qu’
il y a
30 parties musicales et que le choral du premier acte par exemple for
14
⁂ Que dire de Denis de Rougemont ? À peine connu
il y a
trois ou quatre ans, en dehors de quelques revues aussi sincères que
15
aujourd’hui. Vous voulez parler de l’hitlérisme ?
Il y a
certainement une source commune à Hitler et aux romantiques allemands
16
e commune à Hitler et aux romantiques allemands ;
il y a
certainement une analogie profonde entre les réactions collectives de
17
e ces tâches immédiates. C’est justement parce qu’
il y a
ces obstacles que nous devons agir et réagir. Quand le premier enthou
18
our les manuels et tant mieux pour l’argent. Mais
il y a
sans doute autre chose à tirer de nos « privilèges », si nous voulons
19
cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage.
Il y avait
un témoin, en effet, un seul, car du reste l’esplanade était sauvage,
20
nassent le pays dans des aventures dictatoriales.
Il y avait
quelque chose de sain et de profondément démocratique dans l’effaceme
21
de la tyrannie. » C’est Vinet qui parlait ainsi,
il y a
longtemps, tout au haut de la pente… ae. Rougemont Denis de, « La
22
Rester neutres au nom d’un traité signé à Vienne
il y a
plus de cent ans, soit ! Mais il ne faudrait pas retenir de ce traité
23
us du niveau où la pensée est encore agissante. S’
il y a
divorce entre culture et masses, ce serait moins la faute de la cultu
24
français et étrangers — et José Ortega y Gasset.
Il y a
trois semaines, nous étions ensemble à Orléans, pour la représentatio
25
e d’auto. Et ces rires, ces éclats de voix ! Mais
il y a
depuis un moment une musique de radio on ne sait d’où venue, dominant
26
nge protecteur. À l’origine de notre aveuglement,
il y a
notre incrédulité. Si Dieu existait, pleurons-nous, il ne permettrait
27
ain toujours bafoué, au-delà du pessimisme lâche,
il y a
la foi dans l’éternel, y a l’amour et l’espérance de l’éternel. À quo
28
de la tyrannie. » C’est Vinet qui parlait ainsi,
il y a
longtemps, tout au haut de la pente… 6. Cultures. — C’est quand on do
29
tre ironie critique et leur humour. Et tout ce qu’
il y a
dans la culture romande d’un peu précautionneux ou de timide, se trou
30
es Suisses ne soient pas sortis du même moule, qu’
il y ait
des Zurichois et des Bernois, des gens d’Unterwald et de Neuchâtel, d
31
t des Bâlois, et même deux espèces de Bâlois ! Qu’
il y ait
une histoire de l’Appenzell et une histoire de Genève ! Cette variété
32
s l’amitié commune, alors un peuple atteint ce qu’
il y a
de plus haut. al. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Henri le V