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beau temps, l’horizon est aussi lointain qu’on l’
imagine
, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une e
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r d’autres voies que celles qu’il nous plaisait d’
imaginer
… j. Rougemont Denis de, « Littérature et christianisme », La Cité
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! Nous passions des soirées et des nuits que nous
imaginions
orgiaques, et qui étaient simplement lyriques. Durant des mois d’hive
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L’autre possibilité de communauté, c’est celle qu’
imagine
l’être spirituel. C’est l’espoir d’une société d’un type absolument n
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t, ailleurs qu’en Suisse, il n’eût été possible d’
imaginer
et de réaliser un spectacle de cette envergure, et de le rendre popul
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où nous allons… À son défaut, tout universalisme
imaginé
par nos cerveaux sera frappé du même vice que les orthodoxies que vou
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ables domiciles, me reçut à la NRF. Pourrait-on s’
imaginer
, en effet, l’ex-« intellectuel en chômage », qui traîna ses méditatio
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pour devenir madame Tristan, ce qu’on ne saurait
imaginer
. Pour conserver leurs illusions, deux êtres ne peuvent s’aimer que da
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urquoi ne l’ont-ils pas su ? Parce que tous ils s’
imaginaient
— ou croyaient devoir s’imaginer ! — que le bonheur et la force d’un
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ue tous ils s’imaginaient — ou croyaient devoir s’
imaginer
! — que le bonheur et la force d’un peuple dépendent de sa grandeur p
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tit à la guerre. Ce n’est pas notre orgueil qui l’
imagine
, ce sont les faits qui nous obligent à le reconnaître avec une tragiq
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accessible à tout « savoir », aussi vaste qu’on l’
imagine
. ⁂ Le 21 mars 1530, Manuel parut pour la dernière fois à la Diète de
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ent à la guerre. Ce n’est pas notre orgueil qui l’
imagine
, ce sont les faits qui nous obligent à le reconnaître avec une tragiq
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nt ceux qui crient à l’utopie. Beaucoup de gens s’
imaginent
que les petites raisons sont plus réalistes que les grandes. Beaucoup
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lus réalistes que les grandes. Beaucoup de gens s’
imaginent
que les réalités matérielles et pratiques sont plus sérieuses que les
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i prend la place, en moi, de l’effort créateur. J’
imagine
un recueil de Contredits où je réfuterais mes précédents ouvrages…
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e. Car avoir peur d’un accident, c’est entrevoir,
imaginer
ses conséquences, et la guerre est la suppression de toute espèce de
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e nos jours, et, peut-être, à toute autre époque.
Imaginer
là-dessus un livre vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et ch
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nous étions installés nous mettait hors d’état d’
imaginer
à la fois le sublime et le pire. « Trop beau pour être vrai », c’étai
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réalistes ». Nous étions simplement incapables d’
imaginer
quelque chose d’excessif par rapport à nos sécurités. Cette inconscie
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tous. Mea culpa des pacifistes, qui n’ont pas su
imaginer
le mal parce qu’ils croyaient au bien fait de main d’homme. Mea culpa
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mme. Mea culpa des militaristes, qui n’ont pas su
imaginer
un autre bien que la défense toute matérielle d’un ordre de choses vi
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litiques. Les petits pays ne sont pas dispensés d’
imaginer
et de voir grand. Bien au contraire : ils sont contraints de compense