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lus de théâtre. Serait-ce que le paysage lui-même
invite
au jeu, avec ses décors partout suspendus, pans de forêts, portants d
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on de la rue Sébastien-Bottin. Une tonnelle verte
invite
aux conversations littéraires. Un fin gravier protège les pieds des h
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l’œil un opportun et gracieux point d’appui. Tout
invite
à un entretien parfait. Tout, jusqu’au Journal d’André Gide, un fort
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e lieu de la passion d’amour, et c’est elle qu’il
invite
à la danse avec une fougue adolescente, une peur naïve, un courage ch
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neutralité, ce sont les faits eux-mêmes qui nous
invitent
à prendre une attitude active vis-à-vis de l’Europe. Ce sont les fait