1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 es. Il est probable que le Gothard ne jouera plus jamais le rôle unique et décisif qu’il jouait au temps du Saint-Empire. Mais
2 cantons, et de l’idéal commun qui nous a fédérés. Jamais , depuis le xiiie siècle, nous n’avons encouru un tel péril. Jamais l
3 xiiie siècle, nous n’avons encouru un tel péril. Jamais la conscience impérieuse des raisons d’être de la Suisse n’a été, com
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
4 ngt ans plus tard, l’Allemagne est plus forte que jamais , et atteint ses objectifs sans coup férir. Dans la seconde partie, l’
3 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
5 n ? Quelques années de service étranger, cela n’a jamais fait tort, bien au contraire, au sens patriotique de nos ancêtres. Et
4 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
6 able de Grünewald à Colmar : nos œuvres ne seront jamais que cette main qui désigne le Christ, au-dessus des déserts du monde.
5 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
7 e ? On le croit souvent. Pour ma part, je ne l’ai jamais cru, et aujourd’hui moins que jamais. Ce n’est pas à l’Université que
8 , je ne l’ai jamais cru, et aujourd’hui moins que jamais . Ce n’est pas à l’Université que j’appris ce qu’il faut savoir pour v
9 ne mènent à rien, sinon à voir et à sentir comme jamais plus nous ne le ferons plus tard, la couleur de nos pierres après la
10 ui survivra sans doute : c’est que la culture n’a jamais prospéré que dans les lieux où le loisir est cultivé, — et non pas mé
11 aresse dans une occasion de ce genre ? Ce ne sera jamais , hélas, qu’une fois tous les cent ans ! m. Rougemont Denis de, « Q
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
12 e s’attendre à bien pire. C’est donc le moment ou jamais de se montrer très rigoureux dans le choix des moyens de défense. Et,
13 doit y incarner, de nos jours sans doute plus que jamais . Prenons d’abord l’individu. Contrairement à ce que peut nous faire c
14 urer la fidélité de l’Église à la Parole de Dieu. Jamais ils n’ont admis d’être présentés comme des novateurs. « Nous nous som
15 es diversités organiques. Par exemple, Calvin n’a jamais prétendu unifier les constitutions ecclésiastiques des villes où il a
16 opter une politique toute différente. Il ne tombe jamais dans le piège d’opposer à l’absolutisme romain un absolutisme réformé
17 ive, c’est de cela qu’il s’agit. L’histoire n’est jamais qu’un tremplin pour mieux sauter en plein cœur de l’actuel. Comment s
18 e personnaliste ? Calvin, vous le savez, ne s’est jamais préoccupé de la forme des gouvernements. Il insiste à maintes reprise
19 , la distinction entre l’Église et l’État n’avait jamais été établie d’une manière satisfaisante. Le tsar par exemple, était à
20 peine le fait suivant qui, à ma connaissance, n’a jamais été signalé : c’est qu’il existe une forme de fascisme correspondant
21 Si l’on n’a pas les mêmes origines, on ne pourra jamais y entrer — si l’on n’est pas de sang aryen, par exemple — car cette r
22 lles, mortes et enterrées depuis des millénaires, jamais passées, et qui réclament encore du sang, des morts, des cortèges fun
23 ttendant, sachons maintenir, et étendons plus que jamais la distinction strictement calviniste entre les droits de l’Église et
24 s vraiment personnalistes. Et surtout, n’oublions jamais que l’ennemi qui se dresse devant nous, c’est en nous tout d’abord qu
25 ême. Car un ennemi visible et extérieur, ce n’est jamais que l’incarnation d’une possibilité secrète, d’une tentation que chac
7 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
26 ntagnes et du vignoble — le fédéralisme ne perdit jamais ses droits, même à l’intérieur du canton ! Certes, la guerre étant in
8 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
27 endu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais trouvé dans cent occasions analogues. Voilà le principal de ce que je
9 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
28 endu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le principal de ce que j
10 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
29 onfédération et de sa mission en Europe. Plus que jamais , dans ces heures sérieuses, plus que jamais elle doit se faire entend
30 s que jamais, dans ces heures sérieuses, plus que jamais elle doit se faire entendre. Grâce aux organisateurs de l’émission na
11 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
31 straitement quelques pages. Ce Nicolas ne m’avait jamais paru très excitant : souvenir d’école primaire, c’est tout dire. Mais
12 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
32 u comble de sa gloire, et de son risque. Elle n’a jamais été moins neutre, moins confinée dans ses moyennes, ni moins en garde
33 photo durcit et fixe comme nul regard vivant n’a jamais rien perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces tableaux, et Manuel n’est pas u
13 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
34 ire quelque chose — et ils sont plus nombreux que jamais — ; ne vous laissez pas engluer par les sceptiques et les faux réalis
14 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
35 pays qu’au moyen d’une armée, et les armées n’ont jamais occupé autre chose que du terrain. C’était donc le terrain qu’on avai
15 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
36 ur pour que nous ayons le droit de répéter à tout jamais  : nous sommes libres ! Ayons le courage de le reconnaître en toute fr
16 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
37 un chrétien et d’un Suisse, les traités ne seront jamais de simples chiffons de papier ! La Confédération reste fondée sur la
17 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
38 tain sens, ils n’ont pas tort. Une vocation n’est jamais inscrite en clair dans les faits matériels. Il faut savoir l’y déchif
18 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
39 seront lointaines, ou même ils ne les connaîtront jamais … 6 mai 1939 Ce ne sont pas ceux qui la feront qui peuvent avoir peur
19 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
40 ntent des tendances trop vagues : ils ne pourront jamais s’entendre, ou n’obtiendront que des compromis informes. Chacun veut
20 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
41 t, sans doute, celle qu’autrement nous n’eussions jamais soupçonnée, et que dorénavant nous saurons reconnaître ici ou là, d’u
21 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
42 nœuvrés moralement par des influences étrangères. Jamais notre existence indépendante ne fut plus gravement mise en question.
43 épendante ne fut plus gravement mise en question. Jamais donc, il ne fut plus urgent de proclamer nos raisons d’être, notre mi
44 ces vraies, il nous permet de nous unir mieux que jamais pour la défense et la rénovation de l’héritage que Dieu nous a confié
45 et son confort. C’est tout. Le but commun ne fut jamais plus clair. C’est le maintien et la rénovation de la Suisse : l’un ne
46 t, oublions nos partis, car ils ne représenteront jamais qu’une partie de la vérité. N’attendons plus que ceux de l’autre bord
22 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
47 parti, car nous nous défendons de vouloir l’être jamais — ce qui doit logiquement représenter la Suisse d’aujourd’hui. Et tra