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tin de ce drame ? Celui de la paix, je le répète.
Joignons
alors notre prière à celle du peuple suisse, invoquant du fond des va
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’un poignard ses tumultueuses compositions, il se
joint
aux guerriers du chevalier de Stein, va combattre à Novare et pille l
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sa vie. Car ce poignard, c’était déjà celui qu’il
joignait
à son monogramme, enguirlandé au coin de ses tableaux ; ce sera l’arm