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peut être que notre foi. La contre-épreuve de ce
jugement
, je la vois dans deux faits frappants : le premier, c’est que la seul
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rte visiblement vos réponses. D’accord avec votre
jugement
global, je ne le suis guère avec votre description. La direction de c
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Mais sommes-nous bien certains que pour autant le
jugement
de Goethe n’est plus du tout valable de nos jours ? Sommes-nous bien
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e, nous aurions beaucoup plus de liberté dans nos
jugements
, nous respecterions beaucoup mieux les façons de vivre de notre voisi
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end à supprimer pratiquement toute possibilité de
jugement
libre, toute véritable liberté d’esprit. Notre « égalitarisme » est,
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u Règlement des comptes universels que sera notre
jugement
au dernier jour de tous les temps. Karl Barth nous le disait l’autre
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r, lorsque le Malin en personne nous accusera, au
Jugement
dernier. Voilà les dimensions réelles que le chrétien se doit d’envis
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ette crise, quand le seul terme redoutable est le
Jugement
qui nous délivrera ? Eh quoi ! suffisait-il d’y penser ? Non, mais il