1 ais énergique : je ne cesse d’admirer chez Manuel la plupart des vertus qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété, Hodler aussi. D

2 n lyrique, ce sont là des secrets spirituels dont la plupart des artistes modernes paraissent ignorer même l’existence, soit qu’ils rê

3 t mit dem sckwytzerdegen. – End. Gott sye lob ! – La plupart des autres drames et satires de Manuel se terminent par la mention du « S

4 ée… Mais si nous l’acceptons, je suis certain que la plupart des critiques auxquelles j’ai dû me livrer en débutant perdront leur légi

5 s intéressant ; et c’est utile. Si, pratiquement, la plupart des bureaux font tout le contraire, cela tient à la paresse d’esprit des