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mble dans les villes. Il me semblait aussi que le
langage
des écrivains était devenu, ou était resté, le langage d’un très peti
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ge des écrivains était devenu, ou était resté, le
langage
d’un très petit nombre, ou d’une caste, alors que dans le même temps
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n du mot personne. Je le traduirais volontiers en
langage
moderne par le terme de milicien ou de soldat politique. Nous allons
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eçoit droit de cité. Elle peut s’exprimer dans le
langage
du mythe sous une forme voilée. Ce seuil une fois franchi, elle se ré
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tout se transpose dans mon esprit en problèmes de
langage
. Il est sans cesse question d’achat et de vente, et je remarque que l
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’il soit acheté ou vendu) se voit assimilé par le
langage
lui-même à un objet matériel indifférencié. À peine ai-je noté ceci,
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prétend se donner en exemple. 1. Clarifions notre
langage
! — Puisque le fédéralisme est une forme politique qui suppose l’équi
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tions politiques ! 11. Intéressante précision du
langage
! Un « drôle », c’est à la fois un comique et un malandrin. 12. Ceci