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’espoirs, qui ont cru en septembre 1939 que notre
mobilisation
allait ouvrir des possibilités d’action morale et nationale sans préc
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de ses voisins en guerre. Ce n’est pas encore une
mobilisation
spirituelle que je réclame, c’est plutôt une mise de piquet. Soyons p
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e. Aujourd’hui, je songe plutôt à quelque état de
mobilisation
permanente, préventive… Militarisation de nos pensées, de nos images
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ais bien promis d’y retourner, et c’est encore la
mobilisation
qui m’y ramène. Si je vous confie que mes premiers loisirs de militai