1 exerce une influence décisive sur les différents mouvements qu’on peut grouper sous le vocable “personnalistes”. On trouve là un

2 onne, d’individu et de personnalité. Il existe un mouvement personnaliste qui a pris pour tâche de démêler ces notions et de fond

3 pe, et par là même à son principe de tyrannie. Ce mouvement d’arrachement au sacré sombre, à l’empire des morts, ce mouvement de

4 chement au sacré sombre, à l’empire des morts, ce mouvement de dissolution de la communauté primitive, c’est la naissance même de

5 sez bonne définition de l’individu. Toutefois, ce mouvement centrifuge, par rapport à la communauté d’origine, s’il se confond d’

6 tant. La structure même de la scène commandera le mouvement général du drame : au premier acte, Nicolas quitte le monde, il s’élè

7 tention. Je suis donc parti du texte lui-même, du mouvement intérieur du dialogue, pour aboutir organiquement à l’intervention de

8 es phénomènes extérieurs. La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irrationnelle. Nous voulions croire à quelque chos

9 « Viens ! » au terme de l’Apocalypse. Et c’est ce mouvement -là qui crée l’Église quand il entraîne « deux ou trois » d’entre nous

10 , dans une partie de l’Espagne et de l’Italie, le mouvement cathare. D’après ce que nous en savons, il comportait des notions tou

11 e négligence se venge maintenant en suscitant des mouvements passionnels, tel l’hitlérisme. En homme prudent. Denis de Rougemont m