1
de notre histoire, nous n’avons éprouvé une telle
nécessité
de prendre ou de reprendre pleine conscience de cette mission qui est
2
oit graviter autour d’un héros solitaire. D’où la
nécessité
de recourir à des chœurs, qui peuplent et animent de grands espaces,
3
comment avez-vous traduit, dans la pratique, ces
nécessités
? M. Denis de Rougemont, un instant, songe, puis répond : Il y a donc
4
en pays neuchâtelois). On devine aussi à quelles
nécessités
intimes répondait cet appel du dehors. Mais le mystère qui subsiste,
5
uffit pas, c’est que le mal est profond : d’où la
nécessité
d’agir sur la cité. Si la cité n’a plus de vraies mesures, c’est l’Ég
6
nous sommes neutres, c’est uniquement en vertu de
nécessités
toutes matérielles : parce que nous sommes un trop petit pays, parce
7
ns à prendre parti. Notons que cet argument de la
nécessité
n’est guère valable que pour nous, Suisses. Nos voisins n’ont aucune
8
compte uniquement de ce qui est inscrit dans nos
nécessités
, dans notre situation géographique et matérielle. Et ils affirment qu
9
otre prospérité, notre confort et nos progrès aux
nécessités
impérieuses de la défense nationale. Pour avoir refusé les sacrifices
10
préjugés tombent. Nous avons découvert l’urgente
nécessité
de nous unir au-delà des partis, au-delà d’une gauche et d’une droite
11
sans cesse à cette reprise de conscience. D’où la
nécessité
d’une vigilante autocritique, si l’on ne veut pas déchoir ou se laiss
12
ationalistes cantonaux. Ceux qui insistent sur la
nécessité
de l’union centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer l
13
us parfaite indifférence à l’égard des fameuses «
nécessités
techniques », superstition des experts d’hier et d’avant-hier. Ils on
14
trouver dans la mesure où nous sommes sûrs de la
nécessité
de notre Ligue… Les partis ne veulent rien entendre. Mais le peuple r