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une à tous les peuples, elle n’a pas d’autre rôle
ni
d’autre vocation. Elle n’est pas elle-même une nation, mais elle est
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le nationalisme ! Nous ne sommes pas une nation ;
ni
trois nations ; ni même vingt-deux petites nations. Nous sommes une C
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ous ne sommes pas une nation ; ni trois nations ;
ni
même vingt-deux petites nations. Nous sommes une Confédération de com
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s ont cessé d’y jouer. Comme on ne peut supprimer
ni
l’État ni l’argent, le problème que pose l’homme est celui-ci : remet
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é d’y jouer. Comme on ne peut supprimer ni l’État
ni
l’argent, le problème que pose l’homme est celui-ci : remettre l’État
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ne soit pas fondée sur les contraintes du passé,
ni
sur des lois, mais sur l’attente commune et enthousiaste d’un au-delà
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Ces communautés ne sont pas fondées sur le passé
ni
sur des origines communes. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec », écrit s
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ssé ni sur des origines communes. « Il n’y a plus
ni
Juif ni Grec », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte ni de la r
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ur des origines communes. « Il n’y a plus ni Juif
ni
Grec », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte ni de la race, ni
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rec », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte
ni
de la race, ni des traditions, ni du rang social : on y trouve des es
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int Paul. Elles ne tiennent compte ni de la race,
ni
des traditions, ni du rang social : on y trouve des esclaves et des c
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tiennent compte ni de la race, ni des traditions,
ni
du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches. Leu
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re un personnalisme inspiré de la Réforme. Calvin
ni
Luther n’ont parlé de la personne en soi. Ils n’ont pas fait une théo
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n spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus
ni
Juifs ni Grecs. Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ?
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elle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs
ni
Grecs. Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle
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s personnalités énergiques, mais ce qu’il ne peut
ni
ne veut former, ce sont justement des personnes, des vocations irrédu
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celle d’un théâtre de groupes — non d’individus,
ni
de masses — correspondant à la structure communautaire de notre Confé
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d’attentats contre Hitler, c’est qu’Hitler n’est
ni
un tyran ni un roi, mais un fondateur de religion. Cependant, tout ne
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contre Hitler, c’est qu’Hitler n’est ni un tyran
ni
un roi, mais un fondateur de religion. Cependant, tout ne s’explique
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factions, et de prestige.) Il ne veut être appelé
ni
dictateur, ni maréchal, ni roi, ni président, et il insiste sur ce po
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e prestige.) Il ne veut être appelé ni dictateur,
ni
maréchal, ni roi, ni président, et il insiste sur ce point. Il n’avai
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Il ne veut être appelé ni dictateur, ni maréchal,
ni
roi, ni président, et il insiste sur ce point. Il n’avait même pas d’
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ut être appelé ni dictateur, ni maréchal, ni roi,
ni
président, et il insiste sur ce point. Il n’avait même pas d’état civ
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tique d’abord. Si ce petit individu sans qualités
ni
défauts bien marqués a pu devenir l’incarnation du rêve des masses, c
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é moins neutre, moins confinée dans ses moyennes,
ni
moins en garde contre les tentations de la grandeur. Elle est sérieus
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homme qui prend les choses telles qu’elles sont,
ni
vulgaires ni belles en soi, mais les compose avec une liberté puissam
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end les choses telles qu’elles sont, ni vulgaires
ni
belles en soi, mais les compose avec une liberté puissamment signific
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ui aurait existé de tout temps, sans commencement
ni
fin imaginables, qui nous serait due sans discussion et même sans con
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ceux qui nous demanderaient d’entrer en guerre ?
Ni
l’argument des réalistes, ni celui des juristes, ni celui des stratèg
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d’entrer en guerre ? Ni l’argument des réalistes,
ni
celui des juristes, ni celui des stratèges, ne suffiraient à justifie
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l’argument des réalistes, ni celui des juristes,
ni
celui des stratèges, ne suffiraient à justifier notre refus de « paye
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eut donc être qu’au nom d’une réalité qui ne sera
ni
matérielle ni légale, mais spirituelle au premier chef ; au nom de la
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qu’au nom d’une réalité qui ne sera ni matérielle
ni
légale, mais spirituelle au premier chef ; au nom de la mission de la
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coup sûr… La guerre qui vient n’augmente en nous
ni
le courage ni la peur, mais plutôt un certain cynisme. Peut-être auss
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guerre qui vient n’augmente en nous ni le courage
ni
la peur, mais plutôt un certain cynisme. Peut-être aussi une certaine
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it que du mal en lui, nous n’aurions pas de haine
ni
d’amertume : on ne hait pas les catastrophes, les incendies et les tr
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: « Pas n’est besoin d’espérer pour entreprendre,
ni
de réussir pour persévérer. » Or cette espèce est rare en Suisse, com
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flits politiques, économiques, parlementaires. 2.
Ni
gauche ni droite. — Les centralisateurs et les régionalistes ont égal
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tiques, économiques, parlementaires. 2. Ni gauche
ni
droite. — Les centralisateurs et les régionalistes ont également tort
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and le parti de la santé fédéraliste ? Il ne sera
ni
de gauche ni de droite. Car sous l’opposition, indéfendable en théori
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de la santé fédéraliste ? Il ne sera ni de gauche
ni
de droite. Car sous l’opposition, indéfendable en théorie, des centra
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rants qui viennent nous dire : « Ceux qui ne sont
ni
froids ni bouillants seront vomis. » Qu’est-ce que cela signifie, pra
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viennent nous dire : « Ceux qui ne sont ni froids
ni
bouillants seront vomis. » Qu’est-ce que cela signifie, pratiquement
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Notre époque n’est plus celle du grand commerce ;
ni
même de la grande industrie (réalisme d’hier). Notre époque est celle
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é. Nous sommes anticapitalistes et antimarxistes,
ni
de gauche ni de droite, alliés aux syndicats par leurs éléments les p
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s anticapitalistes et antimarxistes, ni de gauche
ni
de droite, alliés aux syndicats par leurs éléments les plus vivants,
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sse qui ne se défend plus qu’à coup de calomnies.
Ni
les « Éléphants », ni aucune organisation. Le peu que nous avons, ce
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lus qu’à coup de calomnies. Ni les « Éléphants »,
ni
aucune organisation. Le peu que nous avons, ce sont des dons personne