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e rejoindre avant tout autre. Et c’est pourquoi j’
ose
voir dans votre décision le signe d’une entente réalisée — et attesté
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le savez bien : ce sont des trucs de métier, si j’
ose
dire, des trucs que l’on n’apprend qu’à l’expérience. Or l’Université
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mi-dictatures : Pologne, Hongrie et Portugal. (On
ose
à peine parler des Tchèques, déjà plus qu’à moitié colonisés.) En fac
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es, d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui
oserait
encore nous soutenir que ce délire représente l’ordre ? Qui ne voit q
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n coup le même « Alléluia ! » parce qu’un homme a
osé
, quand tout était perdu, croire encore au miracle et l’accomplir ! Le
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, si nous avons encore une raison d’être, si nous
osons
encore le proclamer, et si nous en gardons une conscience claire et f
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n spirituel. À la première de ces questions, il n’
oserait
pas répondre en toute franchise ; et à la seconde, il pressent bien q
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Et contre tout l’« économisme » de son temps, il
ose
écrire : « Si quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est p
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rmission de revivre, c’est une épreuve encore, on
ose
à peine le dire, une épreuve dérisoire, bonne pour des spectateurs… P