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tit nombre de personnes qui sont en mesure de les
payer
. Seules les directrices de magazines féminins me paraissent exercer u
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èges, ne suffiraient à justifier notre refus de «
payer
notre part ». Je ne dis pas que ces arguments ne valent plus rien. Je
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st de notre châtiment. ⁂ L’Europe est en train de
payer
le prix d’un siècle d’abandon à l’optimisme du Progrès. Pendant un si
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ous avons refusé d’écouter. Et maintenant il faut
payer
. Non point parce que l’injustice triomphe, non point parce que Dieu n
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e, et qu’il est juste dans son châtiment. Il faut
payer
. Nous adorions l’idole de la prospérité, et l’idole du confort, et l’
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rre. Nous avons ce que nous méritons. Nous sommes
payés
et nous payons selon notre justice à nous. C’est aujourd’hui qu’on en
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s ce que nous méritons. Nous sommes payés et nous
payons
selon notre justice à nous. C’est aujourd’hui qu’on en mesure l’aune.
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oderne, et qui se plaignent aujourd’hui de devoir
payer
leur part minime dans la banqueroute européenne. Mea culpa des clairv
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r-aller et d’insouciance du prochain, car nous le
payons
maintenant, une fois pour toutes. Ce qui comptera, ce qui vaudra touj
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à sa « présentation » matérielle, et zéro franc à
payer
ses collaborateurs. Si l’un d’entre eux s’étonne, on lui répond que l
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, que les restrictions matérielles, ou le fait de
payer
des impôts quadruplés. Ils n’en représentent pas moins la condition p