1 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
1 pourtant, s’y brûlèrent. Et voilà qui me donne à penser qu’il n’y avait pas en jeu, dans tout cela, rien qu’une innocente fan
2 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
2 u sourire extasié. Mais cet homme lui-même, qu’en pensez -vous ? Je ne l’ai vu que le jour dont je vous parle. Je l’ai vu de pr
3 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
3 février 1939)p La grande majorité des Français pensent que le Führer est un végétarien belliqueux qui ressemble à Charlie Ch
4 reilles latines. La grande majorité des Allemands pensent au contraire que le Führer est un homme simple et bon, quoique énergi
4 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
5 tère exégèse. Peut-être est-ce parce qu’il sait «  penser avec ses mains ». ⁂ Mais revenons au jardin de la NRF, où je suis ven
6 accueilli avec une telle faveur par tous ceux qui pensent librement. Toutes les questions sont indiscrètes, répond Denis de Rou
7 j’ai fondé mon raisonnement. Qui pourrait laisser penser qu’avant le xiie siècle on ne savait pas ce que c’était que la passi
5 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
8 a plus misérable de l’homme ». Et je suis loin de penser que nous sommes des crétins ! Je dis seulement qu’en face de cette na
6 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
9 ait pas les mériter par ses manières d’être et de penser . Un jour, écrit Goethe, les Suisses se délivrèrent d’un tyran. Ils p
10 ait presque qu’ils croient que l’autre, celui qui pense différemment, doit être un type dangereux ou très méchant. Ceci pour
11 nifeste dans la diversité infinie des manières de penser et de vivre, nos libertés politiques ne pourront subsister longtemps,
7 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
12 oute une morale, toute une manière de vivre et de penser . Connaître le voisin de langue ou confession différente, lui reconnaî
13 ous apprendrons à voir plus grand, et par suite à penser plus librement, avec plus de générosité. Alors nous serons en état de
8 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
14 ens de trouver dans un livre interdit (mais je ne pense pas que ce soit à cause de ce passage). L’auteur est l’un des chefs d
9 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
15 Catacombes, et non pas du Forum. On m’a loué de «  penser près de la vie ». Hélas ! je n’en suis que trop près, — et surtout de
16 éter ? Quand la guerre sera là, il sera temps d’y penser . » C’est qu’il ne croit pas à la guerre. Un second : « Comment penser
17 l ne croit pas à la guerre. Un second : « Comment penser à autre chose qu’à cette menace ? Faire l’autruche ne l’écarte pas, b
18 . Cet excité croit-il vraiment à ses idées ? — Je pense bien, me dit-on. Il n’hésiterait pas à faire tuer pour elles ses meil
19 homme de la rue de cynisme ou de lâcheté. Faut-il penser qu’ils sont plus courageux ? Mais non. Ils sont tout seuls devant leu
20 née. « Étranger et voyageur sur la terre », ainsi pensais -je d’autres fois, dans ces périodes de nomadisme involontaire. Aujour
21 e environnante, à la campagne… Je suis seul et je pense à un bonheur promis, ce revoir qui est pour demain. Et voici que soud
22 t qui nous délivrera ? Eh quoi ! suffisait-il d’y penser  ? Non, mais il suffira d’y croire. Il est dit : si tu crois, tu vivra
10 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
23 t, ce sont des pessimistes actifs. Des hommes qui pensent et qui agissent conformément à la maxime du Taciturne : « Pas n’est b
11 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
24 ition des experts d’hier et d’avant-hier. Ils ont pensé , et prouvé par le fait, que la Technique ne saurait inspirer une poli