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pourtant, s’y brûlèrent. Et voilà qui me donne à
penser
qu’il n’y avait pas en jeu, dans tout cela, rien qu’une innocente fan
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u sourire extasié. Mais cet homme lui-même, qu’en
pensez
-vous ? Je ne l’ai vu que le jour dont je vous parle. Je l’ai vu de pr
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février 1939)p La grande majorité des Français
pensent
que le Führer est un végétarien belliqueux qui ressemble à Charlie Ch
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reilles latines. La grande majorité des Allemands
pensent
au contraire que le Führer est un homme simple et bon, quoique énergi
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tère exégèse. Peut-être est-ce parce qu’il sait «
penser
avec ses mains ». ⁂ Mais revenons au jardin de la NRF, où je suis ven
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accueilli avec une telle faveur par tous ceux qui
pensent
librement. Toutes les questions sont indiscrètes, répond Denis de Rou
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j’ai fondé mon raisonnement. Qui pourrait laisser
penser
qu’avant le xiie siècle on ne savait pas ce que c’était que la passi
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a plus misérable de l’homme ». Et je suis loin de
penser
que nous sommes des crétins ! Je dis seulement qu’en face de cette na
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ait pas les mériter par ses manières d’être et de
penser
. Un jour, écrit Goethe, les Suisses se délivrèrent d’un tyran. Ils p
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ait presque qu’ils croient que l’autre, celui qui
pense
différemment, doit être un type dangereux ou très méchant. Ceci pour
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nifeste dans la diversité infinie des manières de
penser
et de vivre, nos libertés politiques ne pourront subsister longtemps,
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oute une morale, toute une manière de vivre et de
penser
. Connaître le voisin de langue ou confession différente, lui reconnaî
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ous apprendrons à voir plus grand, et par suite à
penser
plus librement, avec plus de générosité. Alors nous serons en état de
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ens de trouver dans un livre interdit (mais je ne
pense
pas que ce soit à cause de ce passage). L’auteur est l’un des chefs d
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Catacombes, et non pas du Forum. On m’a loué de «
penser
près de la vie ». Hélas ! je n’en suis que trop près, — et surtout de
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éter ? Quand la guerre sera là, il sera temps d’y
penser
. » C’est qu’il ne croit pas à la guerre. Un second : « Comment penser
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l ne croit pas à la guerre. Un second : « Comment
penser
à autre chose qu’à cette menace ? Faire l’autruche ne l’écarte pas, b
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. Cet excité croit-il vraiment à ses idées ? — Je
pense
bien, me dit-on. Il n’hésiterait pas à faire tuer pour elles ses meil
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homme de la rue de cynisme ou de lâcheté. Faut-il
penser
qu’ils sont plus courageux ? Mais non. Ils sont tout seuls devant leu
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née. « Étranger et voyageur sur la terre », ainsi
pensais
-je d’autres fois, dans ces périodes de nomadisme involontaire. Aujour
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e environnante, à la campagne… Je suis seul et je
pense
à un bonheur promis, ce revoir qui est pour demain. Et voici que soud
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t qui nous délivrera ? Eh quoi ! suffisait-il d’y
penser
? Non, mais il suffira d’y croire. Il est dit : si tu crois, tu vivra
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t, ce sont des pessimistes actifs. Des hommes qui
pensent
et qui agissent conformément à la maxime du Taciturne : « Pas n’est b
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ition des experts d’hier et d’avant-hier. Ils ont
pensé
, et prouvé par le fait, que la Technique ne saurait inspirer une poli