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re grandeur et notre espoir. La Suisse n’a pas de
pires
ennemis. Ce n’est pas une armée motorisée qui nous sauvera de l’attaq
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r contrecoup, et il est sage de s’attendre à bien
pire
. C’est donc le moment ou jamais de se montrer très rigoureux dans le
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tre même avant quiconque, si l’on veut éviter les
pires
malentendus. Je ne reprendrai pas ici les distinctions théoriques que
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isse de toute l’histoire. C’est donc pour nous la
pire
menace. Mais en même temps, la plus belle promesse ! Maintenant, la p
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antisuisse de l’histoire. C’est donc pour nous la
pire
menace. Mais en même temps la plus belle promesse ! Maintenant la pre
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timent d’être entravé dans son action. C’est bien
pire
qu’une totale et irrémédiable inaction. Cela ressemble aux cauchemars
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e plan des idées. Sur le plan de la morale, c’est
pire
encore. Je ne vais pas refaire ici, après tant d’autres, le procès de
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) Mais lui, l’émigré, l’excité, le belliciste, et
pire
: l’homme dépourvu de tact, que disait-il : — La France aime tant la
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hors d’état d’imaginer à la fois le sublime et le
pire
. « Trop beau pour être vrai », c’était un de nos proverbes. Et lorsqu
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ontraints brutalement à des sacrifices mille fois
pires
, inévitables et stériles. Le plus étrange est que ces sacrifices se r
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e ne servira de rien. 5. Notre matérialisme. — Le
pire
danger qui nous menace : nous avons renversé l’échelle des valeurs. L
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itique digne de ce nom consiste à prévoir même le
pire
, et même la réalisation prochaine de nos plus lointaines ambitions. O