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écouvrir une terre et une race par ses poètes. La
plaine
hongroise était une grande liberté lumineuse ; tout m’accueillait, êt
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’ocre éclatant, immense et froide, dominant cette
plaine
onduleuse dont les vagues se perdent dans une poussière violacée à l’
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ment « en pleine nature », un peu au-dessus de la
plaine
, pas tout à fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui « chanten
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ulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la
plaine
à la longue-vue et rêve qu’il y est, je grimpe au cerisier sauvage, d