1 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
1 écouvrir une terre et une race par ses poètes. La plaine hongroise était une grande liberté lumineuse ; tout m’accueillait, êt
2 ’ocre éclatant, immense et froide, dominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une poussière violacée à l’
3 ment « en pleine nature », un peu au-dessus de la plaine , pas tout à fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui « chanten
4 ulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la plaine à la longue-vue et rêve qu’il y est, je grimpe au cerisier sauvage, d