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le, cancer de notre « paix ». Il n’y a de liberté
possible
pour les communes et les personnes que sur la base d’une organisation
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ux yeux d’un croyant, il n’est pas de comparaison
possible
entre la situation du romancier chrétien et celle du romancier commun
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es possibilités de culture, au sens le plus large
possible
. Cela englobe, évidemment, une certaine somme de connaissances indisp
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n, dans cette angoisse, deux solutions paraissent
possibles
. Ou bien l’on cherche à recréer la communauté primitive, à base de sa
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s des formes de gouvernement aussi disparates que
possible
: d’abord les cinq monarchies protestantes du Nord : Scandinavie, Pay
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cune liberté. Tous les abus de pouvoir deviennent
possibles
. Certes, l’on crée des ersatz de personnes, de personnalités — des mi
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: nulle part, ailleurs qu’en Suisse, il n’eût été
possible
d’imaginer et de réaliser un spectacle de cette envergure, et de le r
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ent leur rôle aussi. Évidemment, il sera toujours
possible
d’expliquer l’avènement, puis la montée d’Hitler, par les lois économ
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ers ? Ainsi, selon vous, il n’est pas de synthèse
possible
entre Éros et Agapè ? J’ai tenté une esquisse de synthèse à la fin de
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interlocuteur rejette tout de suite une objection
possible
: Il va sans dire qu’il convient dès l’abord d’écarter de ce parallél
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t cela que nous avons à défendre : le seul avenir
possible
de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soit, d’ores et déjà, un prés
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fendre en défendant notre patrie : le seul avenir
possible
de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soit, d’ores et déjà, un prés
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ntraire a tout système totalitaire, et seule base
possible
et solide de la paix que nous espérons. C’est très facile à dire, et
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érer de nous ; le comprendre jusqu’à la limite du
possible
comme il se comprend lui-même ; ne point rechercher l’union dans le c
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passage, il n’y a plus nulle part d’indifférence
possible
! Ici, le Christ reste le Scandale, l’Autre, l’Amour qui bouleverse l
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est que ces sacrifices se révèlent parfaitement «
possibles
». Dès qu’il s’agit de sauver notre peau, dès qu’il s’agit de défense
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ait du mieux vivre, nous le trouvons parfaitement
possible
quand il s’agit du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien si la peur
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des raisons d’espérer. Mais nul espoir n’est plus
possible
, sachons-le, si nous refusons maintenant encore d’envisager les cause
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plein visage. Notre salut, le seul et le dernier
possible
— quelle que soit l’issue de la guerre — dépend de notre capacité d’a
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on, et que nous le refuserons aussi longtemps que
possible
. Par exemple : tant que notre mission européenne ne sera pas accompli
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: l’un ne va pas sans l’autre, l’une rend l’autre
possible
. Les sacrifices, nous devons commencer par les faire chacun pour notr