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e de l’Autriche est éclatant ; il l’est même trop
pour que
j’insiste… 2° nous ne pouvons devenir qu’une des plus petites nations
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vignes, à peine détachée du flanc de la colline (
pour que
les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ic
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le-ci, c’est assez — sans compter tout le reste —
pour que
je vous en exprime ici ma plus profonde reconnaissance. 1. Et non p
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record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien
pour qu’
on parle de lui, qu’on le distingue… C’est là encore une assez bonne d
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si jour et nuit, dans les bureaux et les usines —
pour que
rien ne passe. Frontières closes, pays forclos, reclus dans ses sécur
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ous en vanter encore, et suffit-il de s’en vanter
pour qu’
elles subsistent ? La liberté n’est pas seulement un privilège que l’o
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qu’il a suffi à nos pères de s’affranchir un jour
pour que
nous ayons le droit de répéter à tout jamais : nous sommes libres ! A
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empéraments irréductibles ? Ou bien suffirait-il,
pour que
les points de vue changent — et même s’échangent — que le premier se
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l est « mauvais ». Puis, si notre tiédeur suffira
pour que
le monstre de la guerre nous vomisse… Mais ceci est une autre histoir