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au sérieux la théologie réformée. Il nous reste à
prendre au sérieux
la doctrine réformée de l’homme et de l’État. Ceci ne signifie pas qu
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t les faux réalistes, par tous ceux qui ne savent
prendre au sérieux
que les petites tâches immédiates, perdant de vue l’intérêt général,
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d’un jour à l’autre. Et la preuve que nous ne la
prenons pas au sérieux
, c’est que nous restons mobilisés. Je ne discuterai même pas ici l’ar
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pas très neuf, en apparence. Mais dès qu’on veut
prendre au sérieux
cette vocation, l’on s’aperçoit que ce n’est pas si simple. Que signi
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ons spirituelles la dominent, et il s’agit de les
prendre au sérieux
si l’on veut rester réaliste. Épargnés jusqu’ici par les bombardement
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sme modéré du dernier siècle. Nous ne savons plus
prendre au sérieux
« ce qui nous dépasse », tant par en haut que par en bas. La croyance
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irement sur l’Occident, si celui-ci persiste à ne
prendre au sérieux
que les valeurs de bourse et la « prosperity ». Kierkegaard nous décr
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vu refuser l’argent de l’État, je ne pourrai pas
prendre au sérieux
leurs convictions « fédéralistes » (ce mot étant pris dans leur sens)