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, tant par en haut que par en bas. La croyance au
Progrès
nous a mis des œillères. Et quand soudain la route normale se trouve
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er le prix d’un siècle d’abandon à l’optimisme du
Progrès
. Pendant un siècle, elle fit la sourde oreille, avec un petit air ent
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ains lui posaient cette question : à quoi tend le
progrès
matériel ? Question stupide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de q
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prospérité, et l’idole du confort, et l’idole du
progrès
— ce progrès qui ne sait rien que répéter comme une horloge parlante
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et l’idole du confort, et l’idole du progrès — ce
progrès
qui ne sait rien que répéter comme une horloge parlante : « Tout s’ar
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sacrifier notre prospérité, notre confort et nos
progrès
aux nécessités impérieuses de la défense nationale. Pour avoir refusé