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ci ne signifie pas que l’Église ait à proposer un
programme
comme tant d’autres, mais bien qu’elle doit marquer en toute clarté c
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du compte. Mea culpa des gens de gauche, dont le
programme
de bonheur obligatoire était le même — avec moins de franchise — que
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nt des hommes nouveaux. Des hommes et non pas des
programmes
. Car les événements marchent vite. Des hommes auxquels on fasse crédi
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e nommer « fédéraliste » un parti qui n’a d’autre
programme
que la défense des intérêts locaux contre le centre. Ceux qui se dise
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nce qu’au-delà de leur opposition. Ils se font un
programme
de ce qui ne saurait être que la maladie individualiste ou la maladie
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u’une fédération puisse tolérer sont les partis à
programme
restreint, représentant une région, ou un groupe d’activités apparent
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euse, ou des intérêts corporatifs. Sur la base de
programmes
restreints, bien définis, l’on peut discuter entre experts, se complé
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un étatisme qui, en réalité, fait partie de tout
programme
fasciste ; nos marxistes continuent à se croire libertaires, etc. Seu