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tuel de l’Europe, la garde montée autour de cette
réalité
qui définit l’homme d’Occident : la réalité de la personne et des ins
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cette réalité qui définit l’homme d’Occident : la
réalité
de la personne et des institutions fondées sur elle. ⁂ La personne, c
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la personne n’est plus une simple idée. C’est la
réalité
paradoxale et dynamique de l’homme qui a fait la civilisation et la g
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ent la Suisse en soi, j’entends la Suisse dans la
réalité
vivante d’un de ses cantons ; des hommes qui, à force d’être Vaudois
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eligion, mais cherche à exprimer l’humain dans sa
réalité
totale, telle que la foi seule la révèle : — et à partir de là ne se
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re chose. Une espèce de recherche inconsciente de
réalités
plus vivantes, de drames plus vrais que ceux dont nous faisions la mo
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deux aspects complémentaires d’une seule et même
réalité
: la conversion. Tel est l’homme neuf, créé par l’Église chrétienne.
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aux premiers philosophes chrétiens à désigner la
réalité
de l’homme dans un monde christianisé. Car cet homme, lui aussi, se t
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lation. Ainsi le mot avec son sens nouveau, et la
réalité
sociale de la personne, sont bel et bien des créations chrétiennes ou
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du ou de la collectivité, et cependant toutes les
réalités
que désignent ces termes sont présentes, et sont en conflit à l’époqu
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c ce terme de vocation, Calvin n’ajoute rien à la
réalité
de l’homme chrétien, du membre de l’Église, mais il apporte une préci
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onsciences, faute de pouvoir les saisir dans leur
réalité
singulière, une à une. Cette solution, qui consiste à supprimer bruta
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essous les grandes phrases habituelles, certaines
réalités
solides qui valent la peine d’être affirmées sans rhétorique. Je vous
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ster neutre, ce ne peut donc être qu’au nom d’une
réalité
qui ne sera ni matérielle ni légale, mais spirituelle au premier chef
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les grandes. Beaucoup de gens s’imaginent que les
réalités
matérielles et pratiques sont plus sérieuses que les réalités spiritu
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érielles et pratiques sont plus sérieuses que les
réalités
spirituelles, qu’ils traitent volontiers d’idéologies fumeuses. Ces g
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J’estime que le fédéralisme est tout d’abord une
réalité
morale, et même spirituelle. Et c’est sur ce plan décisif qu’il nous
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er, quand tout le reste, ciel et terre, idéaux et
réalités
, est pulvérisé par les bombes. Au plus fort de la persécution entrepr
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ce roman de Gottfried Keller, le sentiment de la
réalité
alémanique. Vous trouverez dans ce récit d’une jeunesse aventureuse e