1
et l’Allemagne a tout obtenu. Les partisans de la
résistance
à tout prix en déduiront que l’on a eu tort d’aller à Munich. Mais on
2
oussière d’individus déracinés, n’offrant plus de
résistance
appréciable. Vous voyez qu’entre individualisme et dictature, l’oppos
3
onvertie au calvinisme et qui devient l’âme de la
résistance
au centralisme des Habsbourg, qu’il s’agisse des Provinces-Unies des
4
ndirecte, du simple fait qu’ils affaiblissent nos
résistances
spirituelles. C’est ici de nos vertus mêmes qu’il importe de nous méf
5
notre siècle, le type même de la sûre doctrine de
résistance
au paganisme politique. Ceci nous charge d’une responsabilité devant
6
faits frappants : le premier, c’est que la seule
résistance
sérieuse qu’ait rencontrée l’hitlérisme en Allemagne n’est autre que
7
trée l’hitlérisme en Allemagne n’est autre que la
résistance
des Églises chrétiennes. Le second, c’est que le chef de l’Église con
8
miers Suisses au xiiie siècle. C’est l’esprit de
résistance
locale organisée, la préparation minutieuse et la discipline civique
9
classes et entre les cantons. Mais là encore, la
résistance
« aveugle » de quelques-uns sauva la Suisse ; l’envahisseur reconnut
10
euls de toute l’Europe à l’impressionner par leur
résistance
; et après une tentative manquée pour imposer à la Suisse un statut c