1 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
1 ge, il s’en faut, c’est plutôt une manière de lui refuser cette considération bourgeoise qui s’attache aux carrières monotones.
2 c’est l’Église qui doit les refaire. Qu’elle s’y refuse , il faut la réformer. Après quoi l’on pourra rebâtir un État… ⁂ La sa
2 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
3 rer en débutant perdront leur légitimité. Si nous refusons de considérer le fait d’être Suisses comme une espèce de filon, si no
3 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
4 upide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de qui refuse d’envisager la vie comme une totalité orientée par l’esprit. L’esprit
5 profit d’argent et l’augmentation du confort. Il refuse de se demander à quoi servira cet argent ou si le confort matériel fa
6 des penseurs officiels et des bourgeois moyens, a refusé pendant cent ans d’envisager ? Pourtant, les plus grands hommes du de
7 ières excuses. Nous avons été avertis. Nous avons refusé d’écouter. Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injusti
8 s impérieuses de la défense nationale. Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations
9 relations sociales et internationales, pour avoir refusé obstinément tout ce qui lésait si peu que ce soit notre confort, notr
10 r de nous un dépassement de nos égoïsmes que nous refusions à l’amour, pourquoi donc voulez-vous que nous ayons l’amour, et la pa
11 l espoir n’est plus possible, sachons-le, si nous refusons maintenant encore d’envisager les causes du désastre. Envisager, c’es
12 ités dures. Car tout le mal est venu de les avoir refusées , avant qu’elles montrent leurs effets aux yeux de tous. Mea culpa de
4 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
13 s inconséquents : tant que je ne les aurai pas vu refuser l’argent de l’État, je ne pourrai pas prendre au sérieux leurs convic
14 perpétuelle » : cela signifie simplement que nous refusons d’envisager son abandon, et que nous le refuserons aussi longtemps qu