1 je nommais le « problème des gens ». Problème des relations des hommes entre eux ; des relations de l’écrivain avec les hommes pa

2 Problème des relations des hommes entre eux ; des relations de l’écrivain avec les hommes parmi lesquels il vit ; enfin des relat

3 avec les hommes parmi lesquels il vit ; enfin des relations de l’auteur et de son public. Or vous n’ignorez pas que mon souci tou

4 -il désobligeant, m’amenait à reconnaître que ces relations ne sont pas bonnes, de nos jours. J’allais même jusqu’à dire, dans mo

5 va lui donner un nouveau sens. Pour désigner les relations constituant la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, les doct

6 ui aussi, se trouve être à la fois autonome et en relation . Ainsi le mot avec son sens nouveau, et la réalité sociale de la pers

7 Mais il était inévitable et normal que ce type de relations influençât peu à peu toutes les autres relations humaines, et en part

8 relations influençât peu à peu toutes les autres relations humaines, et en particulier les relations politiques. Toute l’histoir

9 autres relations humaines, et en particulier les relations politiques. Toute l’histoire de l’Europe serait à refaire à partir de

10 Collège de sociologie, et en partant non plus des relations économiques, mais de ce qui est sacré dans la sociologie, que j’en su

11 eu. Certes, on ne peut pas passer directement des relations individuelles des amants au fait collectif de la guerre. Mais on peut

12 a Réforme, — et déjà des dialogues esquissés, ces relations faites par des pèlerins montés seuls ou en troupe au Ranft… Quelque c

13 ices qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations sociales et internationales, pour avoir refusé obstinément tout ce qu

14 eulement sur le plan social, mais sur le plan des relations de peuple à peuple. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’ag