1 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
1 terre brûlante, aux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un c
2 te, aux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau de vig
3 ie d’où l’on voit le Danube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite ville juste au-dessous de soi, et la Basilique sur s
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
4 t plus forte que jamais, et atteint ses objectifs sans coup férir. Dans la seconde partie, l’auteur entreprend de décrire le
3 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
5 l amical du destin ? Vous vous trouviez couronner sans le savoir deux livres à la fois, le Journal et l’ Amour . Et peut-ê
4 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
6 je le répète : une expression vraiment totale et sans réserve de l’homme tel que le voient les yeux de la foi : dans le péc
5 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
7 lle, de plus précieux, c’est ce qu’elle m’a donné sans le vouloir : une atmosphère, un milieu de vie, et bien au-delà d’une
8 rd toutes les raisons du monde de condamner, mais sans quoi notre vie demeurerait privée de sa plus émouvante saveur. Je sai
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
9 lectif et ses tabous, afin de s’affirmer libre et sans responsabilité par rapport à la société. Qu’il s’agisse de libre exam
10 vie privée. L’un entraîne l’autre, l’un ne va pas sans l’autre. Nous pouvons le vérifier d’une autre manière encore. Qui dit
11 s civiques actives et responsables, on comprendra sans peine le fait suivant qui, à ma connaissance, n’a jamais été signalé 
12 le calvinisme ne puisse dévier lui aussi, et soit sans défauts. Mais cela signifie que ses défauts et déviations n’entraînen
13 mmunisme, une religion de l’ici-bas, une religion sans transcendance, une religion dont les buts purement terrestres ne dive
14 de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation, ce n’est rien de plus, après tout, qu’un individu aux carac
15 igine du capitalisme moderne, avec sa concurrence sans frein, phénomène de piraterie sociale, de mépris du bien commun, phén
7 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
16 ’une renaissance spirituelle qui ne peut se faire sans une foi. n. Rougemont Denis de, « [Entretien] Hitler, grand-prêtre
8 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
17 ûtante. Et maintenant, vous pourriez le supprimer sans rien détruire de ce qui s’est fait par lui. Le seul trait qui me frap
18 ieux, non politique d’abord. Si ce petit individu sans qualités ni défauts bien marqués a pu devenir l’incarnation du rêve d
9 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
19 e, l’orthodoxie. Point de direction de conscience sans orthodoxie. Et à l’inverse ; dès qu’une orthodoxie se remet à sévir,
20 pur, libre de toute partialité, donc sachant tout sans expérience, et qui, vainqueur du temps, verrait d’un seul regard nos
21 ratuitement. » 3. Je ne puis ici que déclarer, sans démonstration, que le fait de la pluralité des orthodoxies chrétienne
10 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
22 Il était juste que Denis de Rougemont, cet homme sans domicile, ou plutôt aux innombrables domiciles, me reçut à la NRF. Po
23 , l’amour chrétien de la personne, Éros, le désir sans fin n’est que la projection de l’idéal de l’amant sur un autre être.
24 s’intéresse à une étude où l’on parle de l’amour sans ironie comme sans sentimentalisme. Et j’ai surtout rencontré la faveu
25 étude où l’on parle de l’amour sans ironie comme sans sentimentalisme. Et j’ai surtout rencontré la faveur du public fémini
26 ette tout de suite une objection possible : Il va sans dire qu’il convient dès l’abord d’écarter de ce parallélisme la guerr
11 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
27 . L’homme n’est pas né pour faire n’importe quoi, sans rien comprendre. À quelques kilomètres d’ici commencent les tranchées
12 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
28 on d’un chœur en marche et au dialogue, forcément sans nuances, de personnages quasi mythiques. Tout cela créait l’appel au
29 mythiques. Tout cela créait l’appel au musicien… Sans un instant d’hésitation, je m’adressai à Honegger. En trois mois, tou
30 ui présida au recoupement de deux séries de faits sans aucun lien… Quel sera le destin de ce drame ? Celui de la paix, je le
13 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
31 avec l’esprit, — avec la profondeur et la hauteur sans quoi toute vie demeure plate et basse. ⁂ Quanta bella giovinezza C
32 ans la couleur ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveux, mais de ferme écriture : un imaginati
33 eux, mais de ferme écriture : un imaginatif, mais sans excitation ; un homme qui prend les choses telles qu’elles sont, ni v
14 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
34 rir des possibilités d’action morale et nationale sans précédent, — et qui, après trois ou quatre mois, sont en train comme
15 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
35 de posséder un pays dont l’altière beauté menace sans cesse d’écraser l’homme qui voudrait simplement s’y complaire, et qui
16 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
36 nd vous cherchez un poste à la radio, vous captez sans le vouloir, en passant. Que signifient ces parasites gênants ? Pourqu
37 brutalité, à « dire » enfin ce qui naguère allait sans dire, à dire pourquoi nous voulons que notre sol n’appartienne qu’à n
38 ités solides qui valent la peine d’être affirmées sans rhétorique. Je vous ai parlé déjà de notre « nature »5. Je vous parle
17 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
39 orale et intellectuelle. Car les unes ne vont pas sans les autres, et toute notre histoire en témoigne. « Une politique de l
40 l’ordre, les bolchévistes sont pour le désordre. Sans se demander un seul instant de quelle espèce d’ordre il s’agissait. O
18 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
41 ui irait de soi, qui aurait existé de tout temps, sans commencement ni fin imaginables, qui nous serait due sans discussion
42 mencement ni fin imaginables, qui nous serait due sans discussion et même sans contrepartie, et qui représenterait, en somme
43 bles, qui nous serait due sans discussion et même sans contrepartie, et qui représenterait, en somme, un privilège de droit
19 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
44 idu ou le pays qui se reconnaît une vocation doit sans nul doute partir des faits — sous peine de divaguer dans l’utopie — m
45 mprudent de préciser trop vite, mais qui naîtront sans aucun doute, ici ou là, dans la mesure où nous les appellerons, où no
20 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
46 de ce printemps quelle dénature. Envies d’écrire, sans contenus ; envies de noter des idées détachées, des petits faits sans
47 es de noter des idées détachées, des petits faits sans signification, ou plutôt ne signifiant rien qui puisse être aussitôt
48 que des fragments. Le « journaliste » est l’homme sans lendemain. 5 avril 1939 Ce chef d’État offre, dit-on, d’évacuer une î
49 e dans mon esprit en problèmes de langage. Il est sans cesse question d’achat et de vente, et je remarque que l’acheteur et
50 de son attente ardente ? Si j’y croyais vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en tout lieu ! Si tout dépenda
51 y croyais vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en tout lieu ! Si tout dépendait d’un avenir assez lointain
21 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
52 monde, mais seulement sur l’état de leurs nerfs. Sans intérêt. Ce qu’il nous faut à l’heure que nous vivons, ce sont des pe
53 s là que de petits exemples7… Nous avons critiqué sans merci comme des « utopies subversives » certaines réformes sociales q
22 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
54 aissance très vivante d’une autre espèce d’union, sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à peu près intellectuel
55 es masses et l’à peu près intellectuel s’opposent sans cesse à cette reprise de conscience. D’où la nécessité d’une vigilant
56 sses alémaniques. Nier ce principe ou l’appliquer sans loyauté, dans n’importe quel domaine de notre vie, même « privée », c
57 tait une manière d’affirmer qu’ils la concluaient sans arrière-pensée. (Comparez avec certaines offres de paix « pour vingt-
58 légitime qu’elle soit, c’est se condamner à être sans cesse dépassé et ridiculisé par les faits. 14. Neutralité « morale ».
23 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
59 ne s’est maintenue qu’en acceptant la lutte même sans espoir. Un siècle de sécurité et de confort nous a fait oublier ces v
60 es d’elle ! Comment ? Je voudrais vous le montrer sans phrases ronflantes, par des mots simples, peut-être usés déjà, mais a
61 en et la rénovation de la Suisse : l’un ne va pas sans l’autre, l’une rend l’autre possible. Les sacrifices, nous devons com
62 les faire chacun pour notre compte, c’est-à-dire, sans attendre que le voisin se décide, mais au contraire en prenant les de