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rtains crédits et la main-d’œuvre indifférenciée (
service
civil) ; privé de toute autorité politique, celle-ci appartenant au g
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it que les esprits turbulents allassent mettre au
service
de l’étranger une humeur belliqueuse qui, Dieu merci, ne trouvait pas
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renoueraient cette tradition ? Quelques années de
service
étranger, cela n’a jamais fait tort, bien au contraire, au sens patri
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t ses précieuses différences, — il se peut que ce
service
européen soit précisément dans la ligne d’une vocation d’écrivain sui
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rvir » que si l’auteur l’a fait dans un esprit de
service
. Or tout service qui n’est pas le service du Dieu vivant se trouve de
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uteur l’a fait dans un esprit de service. Or tout
service
qui n’est pas le service du Dieu vivant se trouve devenir une servitu
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prit de service. Or tout service qui n’est pas le
service
du Dieu vivant se trouve devenir une servitude. Un romancier communis
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ste chrétien doit être de se maintenir en état de
service
pendant qu’il crée. Je suis d’accord avec Mauriac : le seul problème
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n comme tel ne sert pas une cause visible, et son
service
n’est pas mesurable à ses « résultats » (scandale ou conversions prod
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En effet : le protestant ne considère pas que son
service
en tant qu’artiste puisse être différent de son service en tant qu’ho
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e en tant qu’artiste puisse être différent de son
service
en tant qu’homme chrétien, ou cordonnier, ou magistrat. Les « œuvres
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es, hors de leur qualité technique. Elles sont un
service
; elles ne sont pas au service d’une cause ou d’un parti, fût-il bapt
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que. Elles sont un service ; elles ne sont pas au
service
d’une cause ou d’un parti, fût-il baptisé « chrétien ». (Je parle idé
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t engagés. Libérés par Celui qui les engage à son
service
, et engagés au service du prochain dans la mesure précisément où ils
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Celui qui les engage à son service, et engagés au
service
du prochain dans la mesure précisément où ils se sentent libérés par
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dant nous savons bien que leur libération et leur
service
ne sont nullement contradictoires, puisqu’ils traduisent deux aspects
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je ne sois nullement empêché de rendre à Dieu le
service
que je lui dois par ma vocation. » C’est à ma connaissance le seul te
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s pour défendre la Suisse où Dieu nous veut à son
service
. ag. Rougemont Denis de, « La Suisse que nous devons défendre IV :
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nos précieuses diversités, et de se mettre à leur
service
, comme il se doit. Prévoir des exceptions, tenir compte des faits loc
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vous dire que nous voulons mettre la jeunesse au
service
du pays. À côté de ce comité directeur existe une sorte de sénat comp