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rope, parce que nous serons l’avenir de l’Europe.
Si
, pour faire face à la menace totalitaire, nous essayons plus ou moins
2
contre elle-même en trois races et trois langues,
si
ce n’est quatre. Dès lors, quelle force opposerons-nous aux grandes n
3
e passe en France. Et l’on en vient à se demander
si
ce n’est pas surtout le souci de faire la leçon aux Français « de gau
4
stan et Iseut. Nul n’ignore que ce mythe, demeuré
si
puissant dans nos vies, détient une signification secrète, qui est le
5
animait l’auteur. Un roman ne peut « servir » que
si
l’auteur l’a fait dans un esprit de service. Or tout service qui n’es
6
vous le savez bien : ce sont des trucs de métier,
si
j’ose dire, des trucs que l’on n’apprend qu’à l’expérience. Or l’Univ
7
qu’elle était horriblement surréaliste ! J’ignore
si
les volées qui ont suivi ont été aussi folles que nous, et s’il serai
8
Dans cette ville dont les places et les rues sont
si
pareilles à des décors, la nuit, nous avions l’impression de circuler
9
st-ce que cette personnalité dont la valeur varie
si
curieusement entre zéro et l’infini, et dont tant d’auteurs non prote
10
le choix des moyens de défense. Et, par exemple,
si
beaucoup sont prêts à louer la Réforme d’être une école de personnali
11
notre mot à dire, peut-être même avant quiconque,
si
l’on veut éviter les pires malentendus. Je ne reprendrai pas ici les
12
exemples historiques susceptibles de faire image.
Si
nous remontons aux origines, si nous cherchons comment sont apparues
13
s de faire image. Si nous remontons aux origines,
si
nous cherchons comment sont apparues dans l’Histoire les notions d’in
14
voyez que la distinction entre ces deux vocables
si
courants, loin d’être une querelle byzantine, ne traduit rien de moin
15
iale, dans un composé original dominé par la foi.
Si
la foi venait à disparaître ou à s’altérer, la communauté fondée sur
16
pour sauver l’Église véritable, car, écrit-il, «
si
personne n’allait au-devant pour rembarrer ces deux vices, toute la p
17
que dans la société, à sa juste place. Notons que
si
la personne doit être respectée par l’État, ce n’est pas en vertu d’u
18
illeurs », ne saurait être que l’absolutisme. Or,
si
nous nous rappelons que le calvinisme a toujours maintenu avec rigueu
19
intolérante : on ne peut même pas s’y convertir !
Si
l’on n’a pas les mêmes origines, on ne pourra jamais y entrer — si l’
20
es mêmes origines, on ne pourra jamais y entrer —
si
l’on n’est pas de sang aryen, par exemple — car cette religion n’adme
21
s fins politiques, c’est-à-dire au césaropapisme.
Si
le mot d’ordre « Suisse chrétienne » doit être lancé, ce ne peut être
22
tien, il faut alors rappeler que la personnalité,
si
grande soit-elle, devant Dieu c’est zéro. Et si l’on se borne au soci
23
, si grande soit-elle, devant Dieu c’est zéro. Et
si
l’on se borne au social, il faut prévoir que ces personnalités, ces c
24
res bien trempés, se feront de plus en plus rares
si
nous laissons tarir les sources vives de la Réforme. Et puis, une per
25
s adversaires, les seuls sérieux, et il le sait !
Si
Niemöller est dans un camp de concentration, prisonnier personnel du
26
orte quel Confédéré visiteur de l’Exposition. Or,
si
ce solitaire a été grand, c’est parce qu’un jour il a tout sacrifié a
27
vont peut-être changer, me disais-je. Pour savoir
si
j’avais observé, sur l’Allemagne, une vérité durable, il fallait atte
28
tion passionnée qu’exerce une religion naissante,
si
basse qu’elle soit, sur les masses décomposées par des siècles d’indi
29
uisse opposer à cette force-là ? Rien d’efficace,
si
ce n’est pas une force spirituelle. Rien de pratique, si ce n’est un
30
’est pas une force spirituelle. Rien de pratique,
si
ce n’est un grand effort moral. Quand j’ai envoyé à des amis de Franc
31
i, il arrive bien souvent qu’un Allemand dise : «
Si
le Führer savait cela, tout changerait ! » C’est ainsi que le peuple
32
r lui. Le seul trait qui me frappe encore en lui,
si
je le regarde en psychologue, c’est la surhumaine énergie qu’il dével
33
ler est d’ordre religieux, non politique d’abord.
Si
ce petit individu sans qualités ni défauts bien marqués a pu devenir
34
r de conscience, qui mourut en 1855, écrivait : «
Si
l’on veut réellement conduire un homme à un but défini, il faut avant
35
inon mon savoir supérieur ne lui servira de rien.
Si
je persiste cependant à faire valoir ma science, ce n’est plus alors
36
songer au talent des acteurs pour sauver un texte
si
besoin est… Et pourquoi donc ? La scène de Zurich est immense et se t
37
rte. En outre, la scène comprend trois étages ou,
si
vous préférez, trois plans superposés. Dès lors tout se clarifie. Imm
38
quand Nicolas de Flue parle, il parle en slogans,
si
on peut dire ainsi. Ses paroles sont très concentrées et expriment un
39
urs certaines de ces formules ont un sens général
si
net qu’elles prennent, de par leur esprit et leur forme, une actualit
40
préciser que l’orchestre n’aura que les cuivres.
Si
je comprends bien, les chœurs seront l’acteur numéro 1 du spectacle.
41
utôt de L’Amour et l’Occident, son dernier livre.
Si
ma question ne vous paraît pas trop indiscrète, je voudrais savoir ce
42
is savoir ce qui vous a poussé à écrire ce livre,
si
différent par son caractère intemporel de vos derniers livres, tous l
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us, tant je me sens de plain-pied avec cet auteur
si
peu imbu de sa personne. Mon interlocuteur rejette tout de suite une
44
scient collectif » — dire que tout se passe comme
si
les sociétés réagissaient comme l’inconscient d’un individu. De nombr
45
ication. Saurait-on lui en vouloir de marquer une
si
grande méfiance à l’égard des journalistes ? Pour ma part, je lui en
46
sme ou d’idéalisme. Il s’agit de voir qu’en fait,
si
nous sommes là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils
47
t très volontiers de ce travail de Heimatschutz.)
Si
nous sommes là, c’est pour exécuter la mission dont nous sommes respo
48
or, d’affirmer sa santé, et de sauver son avenir.
Si
nous trahissons cette mission, si nous n’en prenons pas conscience, j
49
ver son avenir. Si nous trahissons cette mission,
si
nous n’en prenons pas conscience, je ne donne pas lourd de notre indé
50
marche. L’accord du musicien et de l’auteur était
si
parfaitement préétabli que je ne fus pas étonné de retrouver, dans la
51
plate et basse. ⁂ Quanta bella giovinezza Che
si
fugge tuttavia ! Chi vuol esser lieto, sia ! Di doman non c’è cer
52
ge de la vie au grand air. Et tout se passe comme
si
le souci de l’hygiène, et celui de l’épargne dans tous les domaines,
53
a vie dans la recherche d’une forme et d’un sens.
Si
l’art n’y suffit pas, c’est que le mal est profond : d’où la nécessit
54
t profond : d’où la nécessité d’agir sur la cité.
Si
la cité n’a plus de vraies mesures, c’est l’Église qui doit les refai
55
que pourtant… C’est la passion de la Renaissance,
si
l’on veut. Je crois plutôt que c’est encore l’angoisse avide d’une un
56
sme ou d’idéalisme. Il s’agit de voir qu’en fait,
si
nous sommes là, ce n’est pas pour défendre d’abord notre fameux confo
57
nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes ».
Si
nous sommes là, c’est pour exécuter la mission dont nous sommes respo
58
lamer que notre Confédération ne pourra vivre que
si
les citoyens les plus conscients de sa mission historique et actuelle
59
doute autre chose à tirer de nos « privilèges »,
si
nous voulons les préserver. Neutralité et beautés naturelles ont été
60
iers », comme chacun sait… Qu’on y prenne garde :
si
nous sommes neutres, si nos Alpes sont belles et nos glaciers « subli
61
t… Qu’on y prenne garde : si nous sommes neutres,
si
nos Alpes sont belles et nos glaciers « sublimes », il n’y a pas là d
62
dans notre histoire et notre géographie. Ensuite,
si
nous bénéficions de privilèges considérables, il s’agirait de nous en
63
les que nous de chanter et de gagner de l’argent,
si
nous étions contraints de leur céder la place ? Sommes-nous vraiment
64
re moralement « à la hauteur ». Non, ce n’est pas
si
facile que cela d’habiter et de posséder un pays dont l’altière beaut
65
arrête : elles nous demandent à nous les Suisses,
si
nous avons encore une raison d’être, si nous osons encore le proclame
66
Suisses, si nous avons encore une raison d’être,
si
nous osons encore le proclamer, et si nous en gardons une conscience
67
son d’être, si nous osons encore le proclamer, et
si
nous en gardons une conscience claire et forte. Elles nous mettent au
68
par Dieu, il nous faut nous demander, maintenant,
si
vraiment Dieu la veut encore. Nous avons fait serment, le 2 septembre
69
ues. Que mes lecteurs ne s’étonnent donc pas trop
si
je consacre mes premiers articles à la « critique », pour ne pas dire
70
ien au contraire ! Mon entreprise serait inutile,
si
nous ne cherchions pas ensemble, et surtout si nous ne trouvions pas,
71
e, si nous ne cherchions pas ensemble, et surtout
si
nous ne trouvions pas, par-dessous les grandes phrases habituelles, c
72
ie plus rapidement que les privilèges politiques,
si
le peuple qui en jouit ne sait pas les mériter par ses manières d’êtr
73
sme intolérant. Qu’il me suffise de remarquer que
si
nous étions plus chrétiens, nous serions beaucoup plus tolérants dans
74
ient subsister et garder leur valeur concrète que
si
nous conquérons une plus grande liberté morale et intellectuelle. Car
75
on française. Je voudrais insister sur ce point :
si
nous perdons le sens et le goût de la liberté quotidienne, celle qui
76
qu’il nous faut maintenant fortifier, moralement,
si
nous voulons que notre armée défende quelque chose de valable. Or, qu
77
ons d’une manière « positive », c’est promis !) «
Si
quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis
78
e signe ? Pour certains, qui se disent réalistes,
si
nous sommes neutres, c’est uniquement en vertu de nécessités toutes m
79
t d’entraîner la dislocation de notre fédération,
si
nous venions à prendre parti. Notons que cet argument de la nécessité
80
orale dont nous avons un besoin réellement vital.
Si
maintenant et malgré tout j’affirme que la Suisse a le devoir de rest
81
n géographique, par exemple, est un péril certain
si
l’on ne s’attache qu’à l’aspect matériel des choses. Mais elle devien
82
e notre neutralité n’est qu’un chiffon de papier,
si
l’on veut y voir simplement une garantie de nos privilèges. Mais elle
83
cette vocation, l’on s’aperçoit que ce n’est pas
si
simple. Que signifient ces mots : défendre et illustrer le principe d
84
nséparables. Il faut répandre l’idée fédéraliste,
si
nous voulons la sauvegarder, car on ne se défend bien qu’en attaquant
85
autre part on ne saurait attaquer avec succès que
si
l’on est sûr de ses armes, et solidement appuyé par l’arrière. Quand
86
dominent, et il s’agit de les prendre au sérieux
si
l’on veut rester réaliste. Épargnés jusqu’ici par les bombardements,
87
rêt. De par notre situation de fait, nous sommes,
si
je puis dire, pratiquement condamnés à l’idéalisme. Mais beaucoup de
88
re autour de nous et en dehors de nos frontières.
Si
quelqu’un me dit que pour sa part, il ne voit pas par quels moyens il
89
Nations. Essayons au contraire de les améliorer,
si
nous les jugeons maladroites. Travaillons aussi, c’est le deuxième po
90
toute notre histoire, ou nos histoires diverses,
si
curieusement défigurées et affadies par les manuels. Il nous reste à
91
n dont elle est responsable. Une seule idée… Mais
si
nous l’acceptons, je suis certain que la plupart des critiques auxque
92
û me livrer en débutant perdront leur légitimité.
Si
nous refusons de considérer le fait d’être Suisses comme une espèce d
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le fait d’être Suisses comme une espèce de filon,
si
nous le considérons tout au contraire comme une mission spéciale deva
94
contre l’un de ces petits personnages, ce combat,
si
« total » qu’il soit, ne saurait figurer pour nous qu’un exercice, un
95
de tous. » Plt D. de Rougemont 6. Bien entendu,
si
je suis vivant après cette guerre, j’espère que j’aurai mieux à faire
96
u’ils vous laisseront tranquilles, les fascistes,
si
c’est eux qui gouvernent ? — Ils ne peuvent pas m’empêcher de travail
97
ard s’assombrit : — Ha ! mais je vais vous dire :
si
les Italiens débarquent ici, moi, j’ammpoisonne tout le pays ! Je ne
98
rovoqué pour montrer de quoi l’on est capable est
si
profond, peut-être si normal, que j’en viens à me demander si toutes
99
e quoi l’on est capable est si profond, peut-être
si
normal, que j’en viens à me demander si toutes nos crises ne seraient
100
peut-être si normal, que j’en viens à me demander
si
toutes nos crises ne seraient pas machinées par nous-mêmes, dans notr
101
du monde, et l’entretien de son attente ardente ?
Si
j’y croyais vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en
102
e, je serais heureux sans cesse et en tout lieu !
Si
tout dépendait d’un avenir assez lointain et assez glorieux pour disq
103
r ? Non, mais il suffira d’y croire. Il est dit :
si
tu crois, tu vivras. ai. Rougemont Denis de, « D’un journal d’atte
104
e de notre aveuglement, il y a notre incrédulité.
Si
Dieu existait, pleurons-nous, il ne permettrait pas cela ! Nous oubli
105
st nous aussi, et que Dieu malgré tout nous aime.
Si
nous avions su croire en lui pendant le temps de sa patience, nous au
106
efuse de se demander à quoi servira cet argent ou
si
le confort matériel favorise un bien spirituel. À la première de ces
107
ment qui s’abattra nécessairement sur l’Occident,
si
celui-ci persiste à ne prendre au sérieux que les valeurs de bourse e
108
féroces. Vinet prévoit que les libertés sociales,
si
nul effort spirituel ne les oriente, aboutiront au despotisme de l’Ét
109
l’« économisme » de son temps, il ose écrire : «
Si
quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis
110
s’agit du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien
si
la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dépass
111
Mais nul espoir n’est plus possible, sachons-le,
si
nous refusons maintenant encore d’envisager les causes du désastre. E
112
dérisoire, bonne pour des spectateurs… Pourtant,
si
nous en triomphons, elle nous donnera la force de préparer l’avenir.
113
saut. On trouvera de l’argent pour 40 chars, mais
si
je demande qu’on double un budget culturel, on me répondra que je veu
114
. D’où la nécessité d’une vigilante autocritique,
si
l’on ne veut pas déchoir ou se laisser dissoudre, si l’on veut durer
115
l’on ne veut pas déchoir ou se laisser dissoudre,
si
l’on veut durer et surtout, si l’on prétend se donner en exemple. 1.
116
laisser dissoudre, si l’on veut durer et surtout,
si
l’on prétend se donner en exemple. 1. Clarifions notre langage ! — Pu
117
c’est beaucoup plus intéressant ; et c’est utile.
Si
, pratiquement, la plupart des bureaux font tout le contraire, cela ti
118
iste, et révocables aussitôt qu’ils le perdent. »
Si
vous les obtenez, la révolution nationale dont certains parlent sera
119
rielle, et zéro franc à payer ses collaborateurs.
Si
l’un d’entre eux s’étonne, on lui répond que les temps sont difficile
120
isant cette échelle de valeurs. Et je conclus : «
Si
quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis
121
exemple que celui de la propagande stalinienne.)
Si
l’on nous interdit de le dire, et de nous défendre en ripostant, pour
122
de quoi, ou de qui, est-on tiède, est-on neutre ?
Si
c’est vis-à-vis du Christ, la parole évangélique nous apprend que cet
123
ume de Dieu. « Je vous vomirai », dit le Christ.
Si
c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on reste tiède, cette n
124
conflit que nous jugeons mauvais. (Reste à savoir
si
le conflit actuel est « mauvais ». Puis, si notre tiédeur suffira pou
125
avoir si le conflit actuel est « mauvais ». Puis,
si
notre tiédeur suffira pour que le monstre de la guerre nous vomisse…
126
te. Affirmer dans l’absolu une position relative,
si
légitime qu’elle soit, c’est se condamner à être sans cesse dépassé e
127
rtu des audacieux. 10. Peut-être me croira-t-on
si
je déclare, après la page qu’on vient de lire, que je n’ai pas d’ambi
128
l s’agissait d’une paisible élection municipale !
Si
la censure accourt alors avec une muselière, elle accomplit un acte d
129
, et c’est encore la mobilisation qui m’y ramène.
Si
je vous confie que mes premiers loisirs de militaire ont été consacré
130
anique. Il est à peine croyable que ce roman soit
si
peu lu chez nous, si mal connu, et qu’il n’en existe à cette heure qu
131
e croyable que ce roman soit si peu lu chez nous,
si
mal connu, et qu’il n’en existe à cette heure qu’une seule et unique
132
nir des qualités et des défauts qui se complètent
si
heureusement : la rouspétance du Suisse romand et la patience de l’Al
133
Suisse ne survivra aux révolutions actuelles que
si
elle croit à son avenir, à sa mission — qui seule la rend indispensab
134
uvre que représente notre démocratie fédérative —
si
différente des grandes démocraties « ploutocratiques » — est à certai
135
le développe au maximum. Prenons un cas concret :
Si
nous parvenons à supprimer le chômage dans le cadre des entreprises e
136
on de leur profit, même totale dans certains cas,
si
cela peut éviter des débauchages : il y va de la liberté future de le
137
ouvriers de consentir des réductions de salaire,
si
cela peut permettre de donner de l’emploi à beaucoup de leurs camarad
138
inales. Il me suffit qu’elles soient chrétiennes.
Si
mes lecteurs les approuvent et les mettent en pratique aussitôt, ils
139
essionnelle qui est la première mesure à prendre,
si
l’on veut sauver le pays. Oui, certes, plusieurs d’entre nous sont «
140
ans son dernier numéro, il ne faut pas agir comme
si
personne n’était capable d’entendre raison et de modifier ses positio