1 individualiste que représentent les deux derniers siècles , succède depuis la guerre — qui fut une guerre des masses — une ère d

2 ctionnaire, l’individu n’est pas une invention du siècle des Lumières et de la Déclaration des droits de l’homme. C’est une in

3 aisons dans nos pensées un petit saut de quelques siècles , pour retomber tout à la fois dans l’époque de la Réformation et dans

4 jet précis qui nous occupe. L’Église des premiers siècles a repris peu à peu l’héritage de l’Empire romain. Elle s’est peu à pe

5 Renaissance. Elle apparaît d’abord en Italie, un siècle au moins avant la Réforme. Et l’on peut la caractériser par quelques

6 les que l’individu et la personne, abordons notre siècle et l’histoire présente. Car en définitive, c’est de cela qu’il s’agit

7 nce calviniste, est appelée à figurer, dans notre siècle , le type même de la sûre doctrine de résistance au paganisme politiqu

8 qu’elle soit, sur les masses décomposées par des siècles d’individualisme. J’ai reçu récemment d’Allemagne une lettre qui ne d

9 mission dont nous sommes responsables, depuis des siècles , devant l’Europe. D’autres se sont chargés d’arrêter les brigands qui

10 voilà pris ! Je découvre une vie d’homme réel, un siècle décisif de notre histoire, un grand drame religieux au seuil de la Ré

11 se est la conscience de sa brève vanité. Dix-huit siècles de chrétienté ont prêché sur le thème du memento mori, mais nous préf

12 mission dont nous sommes responsables depuis des siècles , depuis les temps du Saint-Empire : notre mission vis-à-vis de l’Euro

13 e nous sommes d’une expérience fédéraliste de six siècles . Et surtout, ne dénigrons pas les tentatives qui se feraient jour dan

14 a situation spirituelle la plus extraordinaire du siècle  ! Il est des êtres et des drames dont la vérité n’apparaît que dans c

15 rante créée par le matérialisme modéré du dernier siècle . Nous ne savons plus prendre au sérieux « ce qui nous dépasse », tant

16 nt. ⁂ L’Europe est en train de payer le prix d’un siècle d’abandon à l’optimisme du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la so

17 le d’abandon à l’optimisme du Progrès. Pendant un siècle , elle fit la sourde oreille, avec un petit air entendu, quand certain

18 ger ? Pourtant, les plus grands hommes du dernier siècle furent unanimes à prévoir le destin qui maintenant nous surprend. Nou

19 nternationaux ».) Nos descendants diront de notre siècle qu’il fut celui des gogos enragés. 4. Paresse d’esprit. — Je parle ic

20 un expert commercial. Conception bien typique du siècle dernier, où, en effet, la politique n’était plus guère qu’une annexe

21 n, la Suisse pourrait et devrait jouer dans notre siècle une partie magnifique. Mais il faudrait que notre gouvernement compre

22 ure de la Suisse (1er août 1940)ao Pendant des siècles , l’équilibre entre les grands États qui entouraient la Suisse fut not

23 nue qu’en acceptant la lutte même sans espoir. Un siècle de sécurité et de confort nous a fait oublier ces vérités. Aujourd’hu