1
nt, il n’est pas de comparaison possible entre la
situation
du romancier chrétien et celle du romancier communiste. Car le chréti
2
cas dès le xiie siècle, on se retrouve dans une
situation
quelque peu analogue à celle des débuts de la Grèce, en ce sens qu’un
3
tien. Or il se trouve qu’ici et maintenant, notre
situation
ressemble fort à celle qu’eut à résoudre la Réforme. Calvin combattai
4
nsiste à relier l’homme réel, dans telle ou telle
situation
complexe où il se trouve, au but final et simple assigné à sa vie. Or
5
aux yeux de l’Europe et à nos propres yeux, notre
situation
privilégiée de neutres ? Il semble que depuis quelques années, nous a
6
e nous sommes un trop petit pays, parce que notre
situation
géographique centrale nous exposerait à de trop grands dangers en cas
7
es nos justifications par l’intérêt. De par notre
situation
de fait, nous sommes, si je puis dire, pratiquement condamnés à l’idé
8
e qui est inscrit dans nos nécessités, dans notre
situation
géographique et matérielle. Et ils affirment que dans toutes ces chos
9
sme, énervement. Paris soudain considéré comme la
situation
spirituelle la plus extraordinaire du siècle ! Il est des êtres et de
10
errain, pas d’autre espoir que son travail. Cette
situation
n’est pas nouvelle dans notre histoire. Elle fut celle de nos grandes
11
simples, peut-être usés déjà, mais auxquels notre
situation
rend un pouvoir. Notre force est dans notre union. Or, pour s’unir,