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e et pour durer longuement. » Il me semble que le
spectacle
de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
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es dans le canton qui devait prendre la charge du
spectacle
. Et voici, quelque peu schématisée, la solution où je suis parvenu. P
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Le travail de préparation et de répétition de ce
spectacle
est d’ailleurs venu justifier le calcul que je viens d’esquisser. Cin
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l n’eût été possible d’imaginer et de réaliser un
spectacle
de cette envergure, et de le rendre populaire. Ce sont les conditions
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périeur et entraîne avec lui un des composants du
spectacle
, soit la foule, soit le chœur. Il est l’axe autour duquel tourne cett
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ends bien, les chœurs seront l’acteur numéro 1 du
spectacle
. Exactement. Et j’ai composé ma musique en tenant compte de cette par
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e mirent joyeusement à l’ouvrage pour réaliser le
spectacle
. Ce magnifique effort d’art et de patriotisme devait trouver son cour
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hasard devant lui. Ô abîme ! les Alpes étaient le
spectacle
, le spectateur était un crétin. Je me suis perdu dans cette effrayant
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ette déclaration de Spitteler : « N’est-ce pas un
spectacle
grotesque que celui d’une feuille de chou qui, sûre de son inviolabil