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s et obscures. Peut-être peut-on rapprocher cette
tendance
morale de celle qui poussa les physiciens de la Grèce à créer la noti
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lisme social et religieux. Calvin combat les deux
tendances
non point pour des raisons politiques, mais pour sauver l’Église véri
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le. Mais je maintiens que la cause profonde de la
tendance
fédéraliste protestante jusqu’à nos jours, est d’ordre proprement spi
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résulte alors que la Réforme, et spécialement sa
tendance
calviniste, est appelée à figurer, dans notre siècle, le type même de