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les armées n’ont jamais occupé autre chose que du
terrain
. C’était donc le terrain qu’on avait à défendre, le territoire, symbo
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ccupé autre chose que du terrain. C’était donc le
terrain
qu’on avait à défendre, le territoire, symbole unique, symbole « sacr
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ens indignes de leur nom : ils ont laissé trop de
terrains
en friche, que leur foi seule pouvait ensemencer. Alors les dictateur
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humaine que son armée, pas d’autre allié que son
terrain
, pas d’autre espoir que son travail. Cette situation n’est pas nouvel
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ur dans la précision, mais je m’avance ici sur un
terrain
miné. Je sais d’ailleurs ce que je risque. Ce qui me permet d’approuv
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iers et l’attendons à l’œuvre tout d’abord sur le
terrain
cantonal, en bonne fédéraliste qu’elle s’affirme. »