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ns. Cette attitude « personnaliste » est la vraie
tradition
de l’Europe, la voie royale de sa culture, le foyer de son rayonnemen
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force militaire. Par là même, elle s’attaque à la
tradition
créatrice de l’Occident, — et elle menace en premier lieu sa garde ne
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re que vous ayez à ma reconnaissance. Une vieille
tradition
helvétique voulait que les esprits turbulents allassent mettre au ser
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pacifique1, des écrivains qui renoueraient cette
tradition
? Quelques années de service étranger, cela n’a jamais fait tort, bie
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s essaient d’être des Européens. C’est dans cette
tradition
— celle d’un Constant — que je me suis trouvé rangé, un peu par la fo
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notre rôle actuel, en Suisse, de maintenir cette
tradition
du romantisme et des féconds loisirs qui a fait la gloire d’une Heide
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l. Elles ne tiennent compte ni de la race, ni des
traditions
, ni du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches.
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unauté fondée sur le passé : le sang, la race, la
tradition
, les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et
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a piste d’une liaison du mythe de Tristan avec la
tradition
courtoise, les troubadours et le catharisme. C’est ainsi que les livr
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des psalmistes. Nul autre ne possède, dans notre
tradition
, cette violente simplicité qui peut s’accorder à la fois à la déclama
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our imposer à la Suisse un statut contraire à ses
traditions
, il déclara : « La nature a fait votre État fédératif. Vouloir la vai