1 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
1 , cela seul permet de constituer un bloc puissant vis-à-vis de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une armée. Le vice d’un te
2 étroitement dépendante de l’attitude qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est totalitaire l
2 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
3 depuis les temps du Saint-Empire : notre mission vis-à-vis de l’Europe. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de gar
3 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
4 ngtemps, et alors c’en sera fait de noire liberté vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffi
4 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
5 comme des charges, dont nous sommes responsables vis-à-vis de la communauté européenne. Je voudrais marquer d’une devise ce point c
5 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
6 rière. Quand on parle d’une vocation de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l’utopie. Beaucoup de gens
7 s qui nous invitent à prendre une attitude active vis-à-vis de l’Europe. Ce sont les faits qui rendent insuffisantes nos justificati
6 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
8 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de ses propres ouvrages ? Neutralisera-t-il son action en montrant lui-m
9 ou le devoir, de se montrer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre nation ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui
7 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
10 olu et dans l’abstrait. Car tout dépend de ceci : vis-à-vis de quoi, ou de qui, est-on tiède, est-on neutre ? Si c’est vis-à-vis du
11 eu. « Je vous vomirai », dit le Christ. Si c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on reste tiède, cette neutralité peut être