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ibre, existant par soi-même et par la force de sa
vocation
unique, mais cependant relié à la communauté par l’exercice de cette
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ant relié à la communauté par l’exercice de cette
vocation
. L’homme libre et relié, c’est le chrétien des communautés primitives
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les peuples, elle n’a pas d’autre rôle ni d’autre
vocation
. Elle n’est pas elle-même une nation, mais elle est davantage que cel
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ice européen soit précisément dans la ligne d’une
vocation
d’écrivain suisse. Il faut de tout pour faire une Suisse, surtout dan
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d’autre part, il reçoit une mission nouvelle, une
vocation
. Il devient le serviteur du Maître qui le libère. Ainsi, spirituellem
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ersona du droit romain, puisque l’homme qui a une
vocation
possède une dignité indépendante de son rôle social. Comment le bapti
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il y a diversité des personnes, c’est-à-dire des
vocations
particulières. Avec ce terme de vocation, Calvin n’ajoute rien à la r
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ire des vocations particulières. Avec ce terme de
vocation
, Calvin n’ajoute rien à la réalité de l’homme chrétien, du membre de
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a définition protestante de la personne, c’est la
vocation
. La persona romaine, c’était le rôle joué par un individu dans le pla
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e rendre à Dieu le service que je lui dois par ma
vocation
. » C’est à ma connaissance le seul texte constitutionnel existant, qu
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s, fédération de ces diversités, multiplicité des
vocations
personnelles : tout cela, Calvin l’a voulu dans un plan strictement e
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que de la doctrine calvinienne de l’Église et des
vocations
personnelles ? Je n’hésite pas à le dire : c’est le fédéralisme. Cett
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risé très sérieusement le libre développement des
vocations
chez leurs élèves… Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple q
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at lui-même, dans certains cas, par le fait de sa
vocation
. C’est à cause de sa vocation qu’il est à la fois libre et engagé, au
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, par le fait de sa vocation. C’est à cause de sa
vocation
qu’il est à la fois libre et engagé, autonome et pourtant responsable
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’est-à-dire un individu embrigadé, et non pas une
vocation
. Milliers de masques durs, volontairement durcis, de ces jeunes solda
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e personne sur un individu qui ne croit plus à sa
vocation
, et qui a simplement été formé par une éducation et une ambiance prot
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a Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans
vocation
, ce n’est rien de plus, après tout, qu’un individu aux caractères acc
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veut former, ce sont justement des personnes, des
vocations
irréductibles aux ambitions spirituelles de l’État. Ces personnes-là,
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r, c’est précisément sa personne, c’est-à-dire sa
vocation
particulière qui est de prêcher l’Évangile. — Vous voyez que le Führe
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as de nous, de nos « personnalités », mais de nos
vocations
— de nos personnes —, nous pourrons répéter la fière devise des vieux
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our effet de déprimer l’initiative originale, les
vocations
trop nettement affirmées. Chose curieuse, c’est dans le civil, plus q
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le ou journalistique, et pour en dégager enfin la
vocation
concrète de la Suisse. 5. Voir La Coopération du 20 janvier. ac.
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que de tenir compte des vivantes complexités, des
vocations
infiniment diverses — celles que suppose notre fédéralisme, dans la v
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que je préciserai dans un dernier article, sur la
vocation
de la Suisse et ses conséquences pour nous tous. af. Rougemont Den
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elle la mission de la Suisse, ou mieux encore, sa
vocation
. C’est très facile à dire en quelques mots. La vocation actuelle et h
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on. C’est très facile à dire en quelques mots. La
vocation
actuelle et historique de la Suisse, c’est de défendre et d’illustrer
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nce. Mais dès qu’on veut prendre au sérieux cette
vocation
, l’on s’aperçoit que ce n’est pas si simple. Que signifient ces mots
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le plan du fédéralisme. Ces deux aspects de notre
vocation
me paraissent inséparables. Il faut répandre l’idée fédéraliste, si n
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dement appuyé par l’arrière. Quand on parle d’une
vocation
de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l
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s, ils n’aperçoivent nullement l’indication d’une
vocation
européenne de la Suisse. Dans un certain sens, ils n’ont pas tort. Un
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se. Dans un certain sens, ils n’ont pas tort. Une
vocation
n’est jamais inscrite en clair dans les faits matériels. Il faut savo
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sprit. L’individu ou le pays qui se reconnaît une
vocation
doit sans nul doute partir des faits — sous peine de divaguer dans l’
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donc, il s’agit pour nous tous de reconnaître la
vocation
suisse, d’en revêtir la charge, d’en être les porteurs. Travaillons t
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dre que la paix s’approche pour s’y mettre. Notre
vocation
intérieure est pour le moment plus précise que notre vocation europée
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érieure est pour le moment plus précise que notre
vocation
européenne : mais je le répète, l’une suppose l’autre, et la soutient
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ppose une tolérance particulière : le respect des
vocations
supérieures ou rares, des exceptions, des manières de vivre hors-séri