1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 ibre, existant par soi-même et par la force de sa vocation unique, mais cependant relié à la communauté par l’exercice de cette
2 ant relié à la communauté par l’exercice de cette vocation . L’homme libre et relié, c’est le chrétien des communautés primitives
3 les peuples, elle n’a pas d’autre rôle ni d’autre vocation . Elle n’est pas elle-même une nation, mais elle est davantage que cel
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
4 ice européen soit précisément dans la ligne d’une vocation d’écrivain suisse. Il faut de tout pour faire une Suisse, surtout dan
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
5 d’autre part, il reçoit une mission nouvelle, une vocation . Il devient le serviteur du Maître qui le libère. Ainsi, spirituellem
6 ersona du droit romain, puisque l’homme qui a une vocation possède une dignité indépendante de son rôle social. Comment le bapti
7 il y a diversité des personnes, c’est-à-dire des vocations particulières. Avec ce terme de vocation, Calvin n’ajoute rien à la r
8 ire des vocations particulières. Avec ce terme de vocation , Calvin n’ajoute rien à la réalité de l’homme chrétien, du membre de
9 a définition protestante de la personne, c’est la vocation . La persona romaine, c’était le rôle joué par un individu dans le pla
10 e rendre à Dieu le service que je lui dois par ma vocation . » C’est à ma connaissance le seul texte constitutionnel existant, qu
11 s, fédération de ces diversités, multiplicité des vocations personnelles : tout cela, Calvin l’a voulu dans un plan strictement e
12 que de la doctrine calvinienne de l’Église et des vocations personnelles ? Je n’hésite pas à le dire : c’est le fédéralisme. Cett
13 risé très sérieusement le libre développement des vocations chez leurs élèves… Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple q
14 at lui-même, dans certains cas, par le fait de sa vocation . C’est à cause de sa vocation qu’il est à la fois libre et engagé, au
15 , par le fait de sa vocation. C’est à cause de sa vocation qu’il est à la fois libre et engagé, autonome et pourtant responsable
16 ’est-à-dire un individu embrigadé, et non pas une vocation . Milliers de masques durs, volontairement durcis, de ces jeunes solda
17 e personne sur un individu qui ne croit plus à sa vocation , et qui a simplement été formé par une éducation et une ambiance prot
18 a Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation , ce n’est rien de plus, après tout, qu’un individu aux caractères acc
19 veut former, ce sont justement des personnes, des vocations irréductibles aux ambitions spirituelles de l’État. Ces personnes-là,
20 r, c’est précisément sa personne, c’est-à-dire sa vocation particulière qui est de prêcher l’Évangile. — Vous voyez que le Führe
21 as de nous, de nos « personnalités », mais de nos vocations — de nos personnes —, nous pourrons répéter la fière devise des vieux
4 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
22 our effet de déprimer l’initiative originale, les vocations trop nettement affirmées. Chose curieuse, c’est dans le civil, plus q
5 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
23 le ou journalistique, et pour en dégager enfin la vocation concrète de la Suisse. 5. Voir La Coopération du 20 janvier. ac.
6 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
24 que de tenir compte des vivantes complexités, des vocations infiniment diverses — celles que suppose notre fédéralisme, dans la v
7 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
25 que je préciserai dans un dernier article, sur la vocation de la Suisse et ses conséquences pour nous tous. af. Rougemont Den
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
26 elle la mission de la Suisse, ou mieux encore, sa vocation . C’est très facile à dire en quelques mots. La vocation actuelle et h
27 on. C’est très facile à dire en quelques mots. La vocation actuelle et historique de la Suisse, c’est de défendre et d’illustrer
28 nce. Mais dès qu’on veut prendre au sérieux cette vocation , l’on s’aperçoit que ce n’est pas si simple. Que signifient ces mots 
29 le plan du fédéralisme. Ces deux aspects de notre vocation me paraissent inséparables. Il faut répandre l’idée fédéraliste, si n
30 dement appuyé par l’arrière. Quand on parle d’une vocation de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l
31 s, ils n’aperçoivent nullement l’indication d’une vocation européenne de la Suisse. Dans un certain sens, ils n’ont pas tort. Un
32 se. Dans un certain sens, ils n’ont pas tort. Une vocation n’est jamais inscrite en clair dans les faits matériels. Il faut savo
33 sprit. L’individu ou le pays qui se reconnaît une vocation doit sans nul doute partir des faits — sous peine de divaguer dans l’
34 donc, il s’agit pour nous tous de reconnaître la vocation suisse, d’en revêtir la charge, d’en être les porteurs. Travaillons t
35 dre que la paix s’approche pour s’y mettre. Notre vocation intérieure est pour le moment plus précise que notre vocation europée
36 érieure est pour le moment plus précise que notre vocation européenne : mais je le répète, l’une suppose l’autre, et la soutient
9 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
37 ppose une tolérance particulière : le respect des vocations supérieures ou rares, des exceptions, des manières de vivre hors-séri