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de son rayonnement. Ce n’est pas, comme certains
veulent
le croire, un moyen terme entre anarchie et tyrannie, c’est au contra
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munautés régionales. C’est dans la mesure où nous
voulons
rester cela, et le devenir de mieux en mieux, que nous serons grands
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euse est d’ordre spirituel. Les « réalistes » qui
voudraient
le nier trahissent et ruinent notre grandeur et notre espoir. La Suis
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reconnaissance. Une vieille tradition helvétique
voulait
que les esprits turbulents allassent mettre au service de l’étranger
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plus précieux, c’est ce qu’elle m’a donné sans le
vouloir
: une atmosphère, un milieu de vie, et bien au-delà d’une instruction
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t à dire, peut-être même avant quiconque, si l’on
veut
éviter les pires malentendus. Je ne reprendrai pas ici les distinctio
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ou tout au moins à faire autrement que lui. On se
veut
autonome et conscient. La définition la plus noble de l’individu nous
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es vocations personnelles : tout cela, Calvin l’a
voulu
dans un plan strictement ecclésiastique, c’est vrai. Mais il était in
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ent des vocations chez leurs élèves… Mais je m’en
voudrais
d’insister sur cet exemple qui me ferait la part trop belle. Contento
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ntons-nous de le poser comme un repère. Ce que je
voulais
dégager, c’est que la doctrine réformée prédispose les peuples protes
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onnalités énergiques, mais ce qu’il ne peut ni ne
veut
former, ce sont justement des personnes, des vocations irréductibles
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mouvement comme le nôtre est irrationnelle. Nous
voulions
croire à quelque chose, nous voulions vivre pour quelque chose. Nous
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nelle. Nous voulions croire à quelque chose, nous
voulions
vivre pour quelque chose. Nous avons été reconnaissants à celui qui n
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u besoin de croire de la majorité du peuple. Nous
voulions
croire à la mission du peuple allemand. Nous voulions croire à l’immo
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ions croire à la mission du peuple allemand. Nous
voulions
croire à l’immortalité du peuple et peut-être réussirons-nous à y cro
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itrage entre les factions, et de prestige.) Il ne
veut
être appelé ni dictateur, ni maréchal, ni roi, ni président, et il in
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science, qui mourut en 1855, écrivait : « Si l’on
veut
réellement conduire un homme à un but défini, il faut avant tout se p
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erkegaard : le directeur de conscience, celui qui
veut
« aider » son prochain, doit d’abord « prendre l’homme là où il est »
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ue les orthodoxies que vous condamnez : parti qui
veut
se faire aussi grand que le tout. Que ce soit le parti de la Raison,
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Viens. Que celui qui a soif vienne, que celui qui
veut
prenne de l’eau de la vie, gratuitement. » 3. Je ne puis ici que d
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a question ne vous paraît pas trop indiscrète, je
voudrais
savoir ce qui vous a poussé à écrire ce livre, si différent par son c
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tion que j’ai songé en me mettant à l’œuvre. J’ai
voulu
d’abord faire un livre court traitant du mythe de Tristan et de la dé
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que je prépare actuellement. Pour commencer, j’ai
voulu
marquer les deux cas extrêmes de l’amour, afin d’y voir clair avant d
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ne influence qui se fait sentir aujourd’hui. Vous
voulez
parler de l’hitlérisme ? Il y a certainement une source commune à Hit
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our terminer d’insister sur le fait qu’il n’a pas
voulu
faire œuvre d’historien. Même si les historiens trouvent que j’ai tor
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interview avant la publication. Saurait-on lui en
vouloir
de marquer une si grande méfiance à l’égard des journalistes ? Pour m
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’égard des journalistes ? Pour ma part, je lui en
veux
d’autant moins que c’est chez lui qu’il me reçoit, un chez-lui tout p
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autres se sont chargés d’arrêter les brigands qui
voulaient
profiter de sa faiblesse. Nous sommes chargés de la défendre contre e
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homme au poignard enguirlandé (1940)au Oui, je
veux
opposer la Suisse de Manuel à l’Helvétie des manuels ! Et qu’importe
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tant… C’est la passion de la Renaissance, si l’on
veut
. Je crois plutôt que c’est encore l’angoisse avide d’une unité de sen
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ou mobilisés, aux quatre coins de la Suisse, qui
voudraient
travailler pour leur pays, qui sont pleins de projets et d’espoirs, q
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sentiment suisse répugne à tout ce qui lui paraît
vouloir
se distinguer, dans n’importe quel ordre d’action. C’est le revers d’
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. Et j’en profite pour dire, ici, à tous ceux qui
veulent
faire quelque chose — et ils sont plus nombreux que jamais — ; ne vou
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utre chose à tirer de nos « privilèges », si nous
voulons
les préserver. Neutralité et beautés naturelles ont été trop longtemp
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re beauté menace sans cesse d’écraser l’homme qui
voudrait
simplement s’y complaire, et qui oublie qu’on peut aussi l’y comparer
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cherchez un poste à la radio, vous captez sans le
vouloir
, en passant. Que signifient ces parasites gênants ? Pourquoi ne tente
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is, l’on croyait volontiers que chaque État était
voulu
de Dieu, et qu’il jouissait par conséquent d’une légitimité indiscuta
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ui naguère allait sans dire, à dire pourquoi nous
voulons
que notre sol n’appartienne qu’à nous seuls, à nous Suisses. Elles no
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éclarer que notre Confédération fut « autrefois »
voulue
par Dieu, il nous faut nous demander, maintenant, si vraiment Dieu la
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ut nous demander, maintenant, si vraiment Dieu la
veut
encore. Nous avons fait serment, le 2 septembre, de défendre la Suiss
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une partie “positive”. C’est à cette demande que
veut
bien répondre notre collaborateur. »
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rtés sociales, civiles et quotidiennes qu’ils ont
voulu
se libérer du joug autrichien. Et c’est parce que les Suisses du xvii
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r, pour les armées de la Révolution française. Je
voudrais
insister sur ce point : si nous perdons le sens et le goût de la libe
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us faut maintenant fortifier, moralement, si nous
voulons
que notre armée défende quelque chose de valable. Or, quels sont les
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e dégénérescence de cet instinct démocratique. Il
veut
tout unifier, réglementer, centraliser. Il veut tout faire rentrer da
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l veut tout unifier, réglementer, centraliser. Il
veut
tout faire rentrer dans le rang. Il persécute à petits coups d’épingl
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à petits coups d’épingles tout ce qui « paraît »
vouloir
se distinguer. Pourquoi ? Parce que c’est bien plus simple, et plus f
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neutralité n’est qu’un chiffon de papier, si l’on
veut
y voir simplement une garantie de nos privilèges. Mais elle devient n
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nsables vis-à-vis de la communauté européenne. Je
voudrais
marquer d’une devise ce point central. Au Moyen Âge la noblesse repré
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n’est pas très neuf, en apparence. Mais dès qu’on
veut
prendre au sérieux cette vocation, l’on s’aperçoit que ce n’est pas s
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les. Il faut répandre l’idée fédéraliste, si nous
voulons
la sauvegarder, car on ne se défend bien qu’en attaquant. Mais d’autr
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t, et il s’agit de les prendre au sérieux si l’on
veut
rester réaliste. Épargnés jusqu’ici par les bombardements, nous somme
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ne le voient pas de leurs yeux, et par suite, ne
veulent
pas y croire. Ils prétendent tenir compte uniquement de ce qui est in
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mieux armés pour défendre la Suisse où Dieu nous
veut
à son service. ag. Rougemont Denis de, « La Suisse que nous devons
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les lois intimes du sujet fascinant. Chaque œuvre
veut
et crée son temps à soi, dans la vie de l’auteur qu’elle choisit. Mai
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es Allemands, ou des Anglais, ou tout ce que vous
voudrez
, pourvu qu’on nous laisse travailler. Qu’est-ce que cela change ? J’a
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trop près, — et surtout de la vie des autres ! On
voudrait
parfois être riche, à seule fin de maintenir certaines distances, — c
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nts : demi-luxe et demi-monde. Des femmes qui ont
voulu
ressembler aux trois ou quatre types de stars en vogue. Nanties de ch
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lheur. Mais l’optimisme du matérialiste modéré ne
veut
prévoir que le profit d’argent et l’augmentation du confort. Il refus
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ïsmes que nous refusions à l’amour, pourquoi donc
voulez
-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la sécurité ? Nous avons l
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excitaient les masses. Mea culpa des Suisses, qui
voulaient
profiter des avantages de la folie moderne, et qui se plaignent aujou
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double un budget culturel, on me répondra que je
veux
ruiner le pays. 8. Voir mon livre Mission ou démission de la Suisse
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roient plus aux plans, aux promesses faciles. Ils
veulent
une méthode neuve d’action et de pensée, une solidarité pratique. Et
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s aînés qui voient clair, que tous les jeunes qui
veulent
être guidés viennent avec nous pour travailler. Nous n’avons qu’un se
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écessité d’une vigilante autocritique, si l’on ne
veut
pas déchoir ou se laisser dissoudre, si l’on veut durer et surtout, s
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veut pas déchoir ou se laisser dissoudre, si l’on
veut
durer et surtout, si l’on prétend se donner en exemple. 1. Clarifions
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uissance un petit État totalitaire et unifié, qui
voudrait
bien tout régler à sa guise, et qui se condamne, ridiculement, à avoi
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n’obtiendront que des compromis informes. Chacun
veut
tout assimiler, tout juger et tout absorber. Il serait temps de se re
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e Berne — sauf les crédits. » Mais dites : « Nous
voulons
des fonctionnaires frais et dispos, capables d’imagination, détestant
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llement et publiquement la prétention de ceux qui
voulaient
« neutraliser » de cette manière notre opinion. En tant que citoyen s
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olas de Flue. Et je me dis que la Providence nous
veut
vraiment du bien, à nous les Suisses, puisqu’elle nous a permis de ré
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ire de Genève ! Cette variété dans l’unité — Dieu
veuille
nous la conserver — voilà la véritable école de l’amitié ! Et quand u
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éclara : « La nature a fait votre État fédératif.
Vouloir
la vaincre n’est pas d’un homme sage. » (Napoléon, en 1802.) L’idée s
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et rendons-nous plus dignes d’elle ! Comment ? Je
voudrais
vous le montrer sans phrases ronflantes, par des mots simples, peut-ê
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n point dans un parti, car nous nous défendons de
vouloir
l’être jamais — ce qui doit logiquement représenter la Suisse d’aujou
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6 ans et le plus âgé 44. C’est vous dire que nous
voulons
mettre la jeunesse au service du pays. À côté de ce comité directeur
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igne de la scène politique. Au surplus, il a bien
voulu
nous faire les déclarations qui suivent. » ar. La rédaction conclut
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lle qui est la première mesure à prendre, si l’on
veut
sauver le pays. Oui, certes, plusieurs d’entre nous sont « marqués »,
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ûrs de la nécessité de notre Ligue… Les partis ne
veulent
rien entendre. Mais le peuple répond. Tant pis pour les politiciens.