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« Le théâtre communautaire en Suisse », La Suisse
vue
à travers l’Exposition nationale, vol. II, Zurich, Atlantis Verlag, 1
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e d’exister comme direction, dès que l’on perd de
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les fins qu’elle doit servir. Tout se ramène donc à cette question :
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. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes,
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par les yeux de qui l’habite et l’utilise, et non point des « paysage
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l’utilise, et non point des « paysages » ou des «
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» que l’« Art » dissout en impressions, et que la photo durcit et fix
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eux que les petites tâches immédiates, perdant de
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l’intérêt général, donc le sens même de ces tâches immédiates. C’est
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gent suspect tout ce qui ne rentre pas à première
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dans des catégories moyennes et bien connues, telles que bon ou mécha
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rment que dans toutes ces choses qui peuvent être
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et touchées, nos Alpes, la petitesse de notre territoire, et nos diff
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la France. Tandis que des experts échangent leurs
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, je constate un curieux phénomène : tout se transpose dans mon esprit
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laid, désaccordé, géométrique, douloureux pour la
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et pour l’ouïe, faussement riche et trop éclairé par ce néon rouge ou
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es : confondre le réalisme avec la médiocrité des
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politiques. Les petits pays ne sont pas dispensés d’imaginer et de vo
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ie ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de
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politiques. On demande à un gouvernement de « gouverner14 », de pilot
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lit un acte de décence. » 13. Cf. à ce sujet les
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très exactes du grand théoricien de l’État totalitaire, Carl Schmitt,