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s il est vrai, mais assez nets et assez neufs. Il
y
en a d’autres, très typiques, dans l’attitude de nos syndicats, qui t
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le mener à chef dans le plus court délai. Car il
y
va de l’existence même de notre État, et au-delà : de l’espoir d’une
3
’Histoire qu’un État qui a perdu sa raison d’être
y
survive plus de quelques années. L’exemple de l’Autriche est éclatant
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ieille capitale de la Hongrie. Attila, me dit-on,
y
régna. Aujourd’hui c’est la résidence du Prince Primat. Au-dessus du
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i fouille la plaine à la longue-vue et rêve qu’il
y
est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre to
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montre assez que les facteurs humains ont cessé d’
y
jouer. Comme on ne peut supprimer ni l’État ni l’argent, le problème
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la guerre totale, cancer de notre « paix ». Il n’
y
a de liberté possible pour les communes et les personnes que sur la b
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proposée par l’Ordre nouveau. Quant aux moyens d’
y
parvenir, de l’imposer, ils relèvent d’une action spirituelle au prem
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brûlante et immédiate. Le livre de M. Rivaud nous
y
aidera. Il faut le lire avant de lire Mein Kampf ou les traductions p
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3863. Comment interpréter ces chiffres ? L’auteur
y
voit la preuve « d’une sorte de socialisation indirecte de la product
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chroniques de M. Bailby. À tel point qu’on omet d’
y
faire figurer le retrait de l’Allemagne de la SDN, ainsi que la Confé
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e reste de votre jury m’inciterait à croire que j’
y
ai partiellement réussi : car enfin, vous les jeunes, mes cadets ou m
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s’exercer dans nos cantons paisibles. Pourquoi n’
y
aurait-il pas de nos jours, sous une forme plus pacifique1, des écriv
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r goût. Mais je tiens à le souligner : je ne puis
y
espérer quelque succès qu’à la seule condition de garder avec la Suis
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elles n’ont pas le même sens. Je m’explique. Il n’
y
a pas une manière chrétienne et une manière athée de réussir une pair
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guère visible ? En effet, elle ne l’est pas. Il n’
y
a de visible, dans un roman, que sa technique, son métier, sa réussit
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e — mais qu’importait ? Quelques-uns, pourtant, s’
y
brûlèrent. Et voilà qui me donne à penser qu’il n’y avait pas en jeu,
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brûlèrent. Et voilà qui me donne à penser qu’il n’
y
avait pas en jeu, dans tout cela, rien qu’une innocente fantaisie. Il
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du souvenir et de l’amitié. Vraiment, quel danger
y
aurait-il à faire l’éloge d’une certaine paresse dans une occasion de
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de contemporains à se tourner vers le passé pour
y
trouver le réconfort d’anciennes victoires, d’exemples édifiants. Déc
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affaires qu’il s’agit dans cette discussion. Nous
y
avons notre mot à dire, peut-être même avant quiconque, si l’on veut
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d’individu et de personne, et les systèmes qui s’
y
opposent, nous verrons mieux comment se situe la Réforme dans l’évolu
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n de l’Europe, et quel principe central elle doit
y
incarner, de nos jours sans doute plus que jamais. Prenons d’abord l’
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sur le passé ni sur des origines communes. « Il n’
y
a plus ni Juif ni Grec », écrit saint Paul. Elles ne tiennent compte
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a race, ni des traditions, ni du rang social : on
y
trouve des esclaves et des citoyens riches. Leur lien n’est pas terre
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leurs assemblées. Ceux qui en deviennent membres
y
reçoivent une assistance matérielle, mais ils y trouvent aussi des po
27
s y reçoivent une assistance matérielle, mais ils
y
trouvent aussi des possibilités de servir leurs frères. Ils se voient
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s, délégueront des députés à des synodes, et il n’
y
aura pas de pape pour unifier temporellement toutes ces cellules viva
29
. Et je ne crois pas être infidèle à sa pensée en
y
ajoutant cette précision : ce n’est pas la forme d’un État qui compte
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ions qui respectent l’Église et la personne. Nous
y
trouvons des formes de gouvernement aussi disparates que possible : d
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x. La coupure entre le spirituel et le temporel n’
y
était pas faite au bon endroit, ou mal faite, ou pas faite du tout. I
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ne invertébrée, le grand écrivain espagnol Ortega
y
Gasset n’hésite pas à comparer sous ce rapport l’Espagne et la Russie
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espèce d’individualisme. Nous aurons l’occasion d’
y
revenir tout à l’heure. Car en effet, une opposition aussi radicale e
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tique, et même se confondent avec eux. Alors il n’
y
a plus de recours, plus de pardon à espérer : la communauté spirituel
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é, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’
y
convertir ! Si l’on n’a pas les mêmes origines, on ne pourra jamais y
36
n n’a pas les mêmes origines, on ne pourra jamais
y
entrer — si l’on n’est pas de sang aryen, par exemple — car cette rel
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conversion spirituelle, à partir de laquelle il n’
y
a plus ni Juifs ni Grecs. Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’esp
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torité qui transcende et limite son pouvoir, il n’
y
a plus aucun recours de l’individu à l’absolu divin, donc il n’y a pl
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recours de l’individu à l’absolu divin, donc il n’
y
a plus aucune liberté. Tous les abus de pouvoir deviennent possibles.
40
un certain individualisme, risquent aussi de nous
y
conduire, cette fois-ci, d’une manière indirecte, du simple fait qu’i
41
frapper l’on s’amuse, tant plus de marteaux l’on
y
use. » 2. Texte intégral d’une conférence prononcée au mois de jan
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Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
y
La Suisse est sans doute le pays où l’on joue le plus de théâtre.
43
a formule est celle de l’avenir de notre scène.
y
. Rougemont Denis de, « Le théâtre communautaire en Suisse », La Suis
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à cette réunion, j’avais dit à quelqu’un : « Vous
y
croyez, vous, à l’âme collective ? Est-ce que ce n’est pas une formul
45
rophes. J’achève votre raisonnement : puisqu’il n’
y
a pas d’attentats contre Hitler, c’est qu’Hitler n’est ni un tyran ni
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ortalité du peuple et peut-être réussirons-nous à
y
croire. » Voilà qui dit bien où est la force de l’Allemagne nouvelle.
47
ucun portefeuille dans le gouvernement. (Son rôle
y
est d’inspiration, d’arbitrage entre les factions, et de prestige.) I
48
ne orthodoxie ? Et surtout « universaliste » ? Il
y
faudrait un homme universel, nouvel Adam indemne et pur, libre de tou
49
s de route. Mais les hypothèses historiques que j’
y
développe ne sont pas indispensables à l’essence du livre qui pourrai
50
naissaient les mêmes germes, seulement la passion
y
était considérée comme une maladie ou folie. À partir du xiie siècle
51
marquer les deux cas extrêmes de l’amour, afin d’
y
voir clair avant de passer à la synthèse. En écrivant L’Amour et l’Oc
52
t aux proportions de l’Europe d’aujourd’hui. Il n’
y
avait plus à hésiter. Je tenais enfin le grand sujet. La pièce fut éc
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es, jusqu’à Berne. Quant à quitter la guerre il n’
y
faut plus songer, ce serait quitter du même pas la planète… ⁂ Un vers
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ns un furieux poème, et s’en revient à Berne pour
y
faire la Réforme. Il écrira d’abord des jeux de carnaval qui sont en
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la recherche d’une forme et d’un sens. Si l’art n’
y
suffit pas, c’est que le mal est profond : d’où la nécessité d’agir s
56
s, c’est l’Église qui doit les refaire. Qu’elle s’
y
refuse, il faut la réformer. Après quoi l’on pourra rebâtir un État…
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dans le rang ». Essayez de lancer un projet et d’
y
consacrer toutes vos forces, on vous traitera vite « d’utopiste », de
58
uteurs et d’hôteliers », comme chacun sait… Qu’on
y
prenne garde : si nous sommes neutres, si nos Alpes sont belles et no
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es sont belles et nos glaciers « sublimes », il n’
y
a pas là de quoi nous vanter. D’abord, ce n’est pas notre faute. Car
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cesse d’écraser l’homme qui voudrait simplement s’
y
complaire, et qui oublie qu’on peut aussi l’y comparer. Être Suisse,
61
t s’y complaire, et qui oublie qu’on peut aussi l’
y
comparer. Être Suisse, ce n’est pas un « filon ». C’est plutôt une «
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ilon ». C’est plutôt une « mission spéciale ». Il
y
faut aujourd’hui l’endurance, la longue audace et la maîtrise de soi
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atrie, voilà qui ne faisait pas de question. Il n’
y
avait pas d’autre raison à chercher et à proclamer que cette raison t
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adresse l’Europe moderne. Il s’agit maintenant d’
y
répondre. Nous ne pouvons plus nous contenter de déclarer que notre C
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quelle espèce d’ordre il s’agissait. Or, prenons-
y
bien garde ! Cette passion maladive pour les choses « simples » tend
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neutres, nous dit-on, parce que les traités nous
y
forcent. Et certes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les traité
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alité n’est qu’un chiffon de papier, si l’on veut
y
voir simplement une garantie de nos privilèges. Mais elle devient not
68
ir de ce traité uniquement ce qui nous semblerait
y
garantir notre sécurité ; car le texte dit autre chose, dit beaucoup
69
t pas de leurs yeux, et par suite, ne veulent pas
y
croire. Ils prétendent tenir compte uniquement de ce qui est inscrit
70
clair dans les faits matériels. Il faut savoir l’
y
déchiffrer, et cela ne se peut qu’avec les yeux de l’esprit. Tenir co
71
part, il ne voit pas par quels moyens il pourrait
y
contribuer, je lui demanderai d’aider au moins ceux qui se trouveraie
72
fois-ci, d’attendre que la paix s’approche pour s’
y
mettre. Notre vocation intérieure est pour le moment plus précise que
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actuels, la vraie grandeur du rôle qui peut nous
y
attendre. Et parce que nous serons plus conscients de ce que nous avo
74
mmpoisonne tout le pays ! Je ne sais comment il s’
y
prendra, mais voilà qui s’appelle un beau redressement national ! 11
75
ppelleront. On constatera l’année prochaine (s’il
y
en a une) que cette période de menaces de guerre aura vu concevoir mo
76
oi seule pouvait ensemencer. Alors les dictateurs
y
lancent leurs machines de culture en série… De même, sous l’influence
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uiéter ? Quand la guerre sera là, il sera temps d’
y
penser. » C’est qu’il ne croit pas à la guerre. Un second : « Comment
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; et les démons s’éveillent sur son passage, il n’
y
a plus nulle part d’indifférence possible ! Ici, le Christ reste le S
79
’écrivains français et étrangers — et José Ortega
y
Gasset. Il y a trois semaines, nous étions ensemble à Orléans, pour l
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de Roumanie : la plupart vont venir à Paris ou s’
y
trouvent déjà. Impression soudaine, émouvante, d’une société secrète
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à cause de la menace ? Je ne le crois pas. S’il n’
y
avait pas un bien, dans ce régime, un bien que nous avons perdu, et q
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que nous avons perdu, et qu’il séquestre, s’il n’
y
avait que du mal en lui, nous n’aurions pas de haine ni d’amertume :
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ar le délire matérialiste de l’après-guerre. Tout
y
est laid, désaccordé, géométrique, douloureux pour la vue et pour l’o
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nde, et l’entretien de son attente ardente ? Si j’
y
croyais vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en tout
85
ent qui nous délivrera ? Eh quoi ! suffisait-il d’
y
penser ? Non, mais il suffira d’y croire. Il est dit : si tu crois, t
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suffisait-il d’y penser ? Non, mais il suffira d’
y
croire. Il est dit : si tu crois, tu vivras. ai. Rougemont Denis d
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le précipice était prévu. Mais encore fallait-il
y
croire. Or le matérialisme modéré dans lequel nous étions installés n
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est écrasant pour la conscience européenne : vous
y
trouverez les plus grands noms de la pensée, qui furent aussi les plu
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furent aussi les plus cyniquement méconnus. Vous
y
trouverez les témoignages convergents des esprits les plus opposés, u
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sont encore à l’écart de la guerre, et peut-être
y
resteront-ils. Ils ont encore ce bref délai de grâce dont je parlais
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; et qu’il était logique, inévitable, et qu’il n’
y
a plus qu’à en tirer les conclusions9. Mais nous ne sommes pas neutre
92
u pessimisme lâche, il y a la foi dans l’éternel,
y
a l’amour et l’espérance de l’éternel. À quoi se raccrocher, que fair
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ont démasqué leur fructueuse entente… Mais rien n’
y
fait, notre presse continue, nos partis continuent, nos arguments ne
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s sens) que par la faute des fonctionnaires qui s’
y
incrustent, et dont l’intelligence politique s’atténue dans le confor
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’elle peut au contraire servir à tout lorsqu’on l’
y
force — et en particulier à dominer les masses13. Il est temps que la
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s douce, mais plus drue. Je m’étais bien promis d’
y
retourner, et c’est encore la mobilisation qui m’y ramène. Si je vous
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retourner, et c’est encore la mobilisation qui m’
y
ramène. Si je vous confie que mes premiers loisirs de militaire ont é
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ins cas, si cela peut éviter des débauchages : il
y
va de la liberté future de leur entreprise. Et je conjure les ouvrier
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er de l’emploi à beaucoup de leurs camarades : il
y
va de la liberté future des travailleurs. Mais les sacrifices matérie
100
intellectuels non moins indispensables. Quand il
y
va de tout, oublions nos partis, car ils ne représenteront jamais qu’
101
es jours et qui vient d’être rendue officielle. N’
y
voyons pas, comme certains se hâteront de le faire, un rapport quelco
102
embre 1940)as at Je comprends vos questions. J’
y
ai répondu dans une brochure qui va paraître sur la Ligue. Il faut fa
103
i en mission de trois mois aux États-Unis, afin d’
y
prendre contact avec les milieux suisses établis là-bas, il nous dit