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t à fait, et ses yeux dans le noir imaginent. Une
étreinte
qui s’égalerait à l’Infini. Se fondre en un seul être, mais que cet ê
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es, multipliant la splendeur amoureuse, par mille
étreintes
successives il s’élève à la jouissance imaginaire et désespérément co
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-delà de nous-mêmes. Mais dans cette défaite de l’
étreinte
, n’est-ce point le souvenir du seul désert que désormais nous cherche
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Tout notre platonisme échoue dans l’instant de l’
étreinte
dénouée. Alors l’amour, dirait-on, change de signe. On voit soudain q