1 Pologne. Les deux premières années de la victoire allemande ont renforcé la volonté des Suisses de se défendre. Le contact entre

2 ses mains, le Gothard. Les 4/5e du trafic entre l’ Allemagne et l’Italie se font par le Gothard ou le Simplon. Ces tunnels sont pu

3 Autrefois et naguère encore, avant l’occupation allemande , les étrangers qui n’avaient pas voyagé en France, ou ceux qui n’avai

4 Après quelques semaines en territoire conquis, l’ Allemand s’est senti dominé par une force étrange et qui l’intimidait : le reg

5 s de haines. Ils ne savaient pas cela, les jeunes Allemands , on ne leur avait jamais parlé du vrai peuple de la vraie France. Ils

6 rouve qu’en Suisse, de même celui de Francfort en Allemagne  ; ils n’ont pas droit d’entrée en France. Quant à celui d’Etteilla, o

7 Palais du Luxembourg, abandonné la veille par les Allemands . Au milieu du désordre indescriptible de la salle du Sénat, meubles b

8 uspect, ajouterons-nous : il s’agissait de cartes allemandes portant au lieu des coupes, bâtons, deniers, épées : des cœurs, des c

9 ts les plus divers de la planète. Les romantiques allemands l’ont soupçonné : Jean-Paul invoque la « rhétorique des rêves ». Mais

10 Je disais à ce romancier (l’un des meilleurs de l’ Allemagne d’alors) : — Le mythe du coup de foudre est sans doute une astucieuse

11 es en feront leurs prétextes comme l’ont fait les Allemands sous l’hitlérisme. La liberté fondamentale dont tout dépend, c’est ce

12 tragédie, Denis de Rougemont, dans son Journal d’ Allemagne , définissait le national-socialisme, « phénomène à la fois mythique

13 onde, sauf s’il saute à cheval par-dessus toute l’ Allemagne ou l’océan. (Mettez-lui bien cela dans la tête.) z. Rougemont Den

14 glises en style aérodynamique construites par les Allemands avant Hitler, ou par les Suisses ou par les Hollandais. Mais en Améri

15 , Luther, Gide, Ramuz, Claudel et les romantiques allemands . Enfin, Doctrine fabuleuse . J’y travaille depuis vingt ans et voudr

16 d qui sortait de la petite chambre : « 165 avions allemands ont été abattus sur Londres. » Et c’est peut-être la nouvelle la plus

17 qui ne sait pas être vaincue, mais qui perd ? Les Allemands , en effet, même victorieux, se plaignent encore comme des victimes. E